Investing.com - L'euro est redescendu ce mardi de son pic des 5 dernières semaines face à la livre sterling, les craintes concernant la dette souveraine de la zone euro ayant refait surface, et éclipsant l'attente d'une hausse des taux de la Banque Centrale Européenne qui pourrait précéder celle de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
La paire EUR/GBP a glissé jusqu'à 0.8592 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8609, trébuchant de 0.12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8563, son plancher de vendredi dernier, et de rencontrer de la résistance à 0.8635, son plafond des 5 semaines passées datant d'aujourd'hui.
L'angoisse liée à la dette grecque aura contribué à l'agrandissement du fossé entre ses propres dividendes et ceux des bons gouvernementaux allemands, l'agence Moody's rabaissant par ailleurs de trois crans sa notation monétaire du pays.
Les bonnes nouvelles concernant les commandes auprès des usines allemandes ont quand à elles été largement snobées. Elles ont pourtant gagné 2.9% en janvier, sur fond de forte demande nationale, celle provenant des 17 membres de la zone euro ayant aussi engrangé 2.3%, signe de poursuite de la relance dans la région.
La monnaie unique a également perdu du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD dérapant de 0.51% pour tomber à 1.3897.
Des informations émanant de spécialistes avaient par ailleurs montré ce matin que les ventes au détail de la Grande-Bretagne avaient perdu du terrain en février, tandis qu'une autre étude montrait du doigt une absence simultanée de répit dans l'effondrement des prix de l'immobilier.
La paire EUR/GBP a glissé jusqu'à 0.8592 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8609, trébuchant de 0.12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8563, son plancher de vendredi dernier, et de rencontrer de la résistance à 0.8635, son plafond des 5 semaines passées datant d'aujourd'hui.
L'angoisse liée à la dette grecque aura contribué à l'agrandissement du fossé entre ses propres dividendes et ceux des bons gouvernementaux allemands, l'agence Moody's rabaissant par ailleurs de trois crans sa notation monétaire du pays.
Les bonnes nouvelles concernant les commandes auprès des usines allemandes ont quand à elles été largement snobées. Elles ont pourtant gagné 2.9% en janvier, sur fond de forte demande nationale, celle provenant des 17 membres de la zone euro ayant aussi engrangé 2.3%, signe de poursuite de la relance dans la région.
La monnaie unique a également perdu du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD dérapant de 0.51% pour tomber à 1.3897.
Des informations émanant de spécialistes avaient par ailleurs montré ce matin que les ventes au détail de la Grande-Bretagne avaient perdu du terrain en février, tandis qu'une autre étude montrait du doigt une absence simultanée de répit dans l'effondrement des prix de l'immobilier.