Investing.com - Le dollar U.S. restait largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, le rebond des actions encourageant les investisseurs dans l'expectative d'une réunion d'urgence des dirigeants européens en cours de semaine.
En seconde partie de séance européenne, il a toutefois un peu moins fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.4% pour grimper à 1.4168.
La monnaie unique a retrouvé du soutien avec la légère diminution des taux des obligations italiennes et espagnoles, lesquels avaient bondi lors de la session précédente par peur d'une contamination de la région par la crise de la dette souveraine.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.43% pour se hisser à 1.6226.
Il n'a d'autre part pas pu résister à la pression du yen, mais a fait subir la sienne au franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.14% pour se retrouver à 78.92 et l'USD/CHF arrachant 0.21% pour monter à 0.8192.
Hirohide Yamaguchi, gouverneur adjoint de la Banque du Japon, a pour sa part prévenu que la progression du yen pouvait menacer la reprise économique du pays, et répété que celle-ci se tenait prête à intervenir sur le marché des changes si nécessaire.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.5% pour aller vers 0.9549, l'AUD/USD raflant 0.61% pour monter à 1.0671 et le NZD/USD engrangeant 0.98% pour culminer à 0.8532.
Le compte-rendu de la réunion de juillet de la Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant indiqué que les membres de son conseil directeur estimaient pouvoir prendre "davantage de temps" pour évaluer les pressions exercées sur les prix, contredisant l'hypothèse d'un durcissement imminent de sa politique monétaire.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.39%.
Les Etats-Unis devraient pour leur part donner dans l'après-midi le nombre officiels des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.
En seconde partie de séance européenne, il a toutefois un peu moins fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.4% pour grimper à 1.4168.
La monnaie unique a retrouvé du soutien avec la légère diminution des taux des obligations italiennes et espagnoles, lesquels avaient bondi lors de la session précédente par peur d'une contamination de la région par la crise de la dette souveraine.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.43% pour se hisser à 1.6226.
Il n'a d'autre part pas pu résister à la pression du yen, mais a fait subir la sienne au franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.14% pour se retrouver à 78.92 et l'USD/CHF arrachant 0.21% pour monter à 0.8192.
Hirohide Yamaguchi, gouverneur adjoint de la Banque du Japon, a pour sa part prévenu que la progression du yen pouvait menacer la reprise économique du pays, et répété que celle-ci se tenait prête à intervenir sur le marché des changes si nécessaire.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.5% pour aller vers 0.9549, l'AUD/USD raflant 0.61% pour monter à 1.0671 et le NZD/USD engrangeant 0.98% pour culminer à 0.8532.
Le compte-rendu de la réunion de juillet de la Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant indiqué que les membres de son conseil directeur estimaient pouvoir prendre "davantage de temps" pour évaluer les pressions exercées sur les prix, contredisant l'hypothèse d'un durcissement imminent de sa politique monétaire.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.39%.
Les Etats-Unis devraient pour leur part donner dans l'après-midi le nombre officiels des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.