Investing.com - Les bourses européennes ont suivi le mouvement baissier amorcé par leurs homologues d'Asie et d'Amérique, dans l'attente de la publication des taux d'intérêt de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre.
Lors de l'ouverture des places européennes, le CAC 40 français a perdu 1.49%, le DAX allemand 1.04%, l'EURO STOXX 50 1.44% et le FTSE 100 britannique a perdu 1.07% malgré l'annonce de la bonne forme du marché immobilier du pays.
Les banques étaient parmi les lanternes rouges, BNP Paribas chutant de 2.7% et la Banque Nationale grecque dégringolant de 3.12%.
La menace persistante de la crise grecque a également sapé le goût du risque des investisseurs après que l'écart entre les coûts des emprunts grecs et allemands ait atteint mercredi son plus haut niveau depuis 1999.
Les économistes ont prédit que la BCE ne changerait pas le taux de demande minimal, son taux d'intérêt directeur, le gardant à son plancher pour encourager la croissance. Après l'annonce de la décision, Jean-Claude Trichet, son président, tiendra une conférence de presse où il devrait expliquer les tenants et les aboutissants de la prise de position.
Le futur des marchés américains semblait quand à lui plutôt terne: les options sur le Dow Jones prédisant une baisse de 0.34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.39% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur 0.3% de pertes.
Le ministère du travail des Etats-Unis devrait également rendre public le nombre de nouvelles demandes d'allocations chômage du pays au cours de la journée, un indicateur fort de sa santé économique.
Lors de l'ouverture des places européennes, le CAC 40 français a perdu 1.49%, le DAX allemand 1.04%, l'EURO STOXX 50 1.44% et le FTSE 100 britannique a perdu 1.07% malgré l'annonce de la bonne forme du marché immobilier du pays.
Les banques étaient parmi les lanternes rouges, BNP Paribas chutant de 2.7% et la Banque Nationale grecque dégringolant de 3.12%.
La menace persistante de la crise grecque a également sapé le goût du risque des investisseurs après que l'écart entre les coûts des emprunts grecs et allemands ait atteint mercredi son plus haut niveau depuis 1999.
Les économistes ont prédit que la BCE ne changerait pas le taux de demande minimal, son taux d'intérêt directeur, le gardant à son plancher pour encourager la croissance. Après l'annonce de la décision, Jean-Claude Trichet, son président, tiendra une conférence de presse où il devrait expliquer les tenants et les aboutissants de la prise de position.
Le futur des marchés américains semblait quand à lui plutôt terne: les options sur le Dow Jones prédisant une baisse de 0.34%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.39% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur 0.3% de pertes.
Le ministère du travail des Etats-Unis devrait également rendre public le nombre de nouvelles demandes d'allocations chômage du pays au cours de la journée, un indicateur fort de sa santé économique.