Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce mardi matin, le goût pour les valeurs à risques se dissipant à l'approche de la prochaine prise de cap de la Réserve Fédérale, qui veille à entretenir le suspense concernant ses prochaines décisions.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,22%, le CAC 40 français de 1,19%, et le DAX 30 allemand de 1,22%.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient nettement enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,64%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,35 et 2,46%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 2,55 et 2,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,93 et 2,06%.
Deutsche Wohnen s'écroulait de 4,75% après avoir offert un rachat par actions de GSW Immobilien AG afin de constituer le second propriétaire de logements alleands.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,79%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings dérapait ainsi de 0,64%, et Barclays de 1,57%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking jouaient les lanternes rouges avec 2,31 et 2,70%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 3,25 et 2,12%, leurs rivaux Evraz et Glencore n'étant pas en reste avec 5,20 et 3,20%.
Le dernier avait pourtant auparavant revendiqué des bénéfices nets ajustés de 2,04 milliards d'USD, surpassant les 1,87 milliards envisagés, subissant d'autre part 7,7 milliards de charges de dépréciation dûes à l'acquisition d'Xstrata.
Le premier avait cependant avoué que ses profits annuels s'étaient effondrés de 30% suite à la plongée des cours.
Les perspectives des marchés américains étaient plus modérées dans leur pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
Une étude officielle avait déjà souligné en début de journée que les prix à la production de l'Allemagne avaient trébuché de 0,1% d'une mois sur l'autre en juillet, tout en gonflant de 0,5% annualisés.
Des augmentations de 0,2% mensuels et 0,7% annuels avaient pourtant été anticipées par les experts.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,22%, le CAC 40 français de 1,19%, et le DAX 30 allemand de 1,22%.
Les observateurs guettaient en effet pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient nettement enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,64%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,35 et 2,46%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 2,55 et 2,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,93 et 2,06%.
Deutsche Wohnen s'écroulait de 4,75% après avoir offert un rachat par actions de GSW Immobilien AG afin de constituer le second propriétaire de logements alleands.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,79%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings dérapait ainsi de 0,64%, et Barclays de 1,57%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking jouaient les lanternes rouges avec 2,31 et 2,70%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 3,25 et 2,12%, leurs rivaux Evraz et Glencore n'étant pas en reste avec 5,20 et 3,20%.
Le dernier avait pourtant auparavant revendiqué des bénéfices nets ajustés de 2,04 milliards d'USD, surpassant les 1,87 milliards envisagés, subissant d'autre part 7,7 milliards de charges de dépréciation dûes à l'acquisition d'Xstrata.
Le premier avait cependant avoué que ses profits annuels s'étaient effondrés de 30% suite à la plongée des cours.
Les perspectives des marchés américains étaient plus modérées dans leur pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,11% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
Une étude officielle avait déjà souligné en début de journée que les prix à la production de l'Allemagne avaient trébuché de 0,1% d'une mois sur l'autre en juillet, tout en gonflant de 0,5% annualisés.
Des augmentations de 0,2% mensuels et 0,7% annuels avaient pourtant été anticipées par les experts.