Investing.com - Les options sur le brut étaient timides ce mardi, demeurant dangereusement proches de leur creux de quatre mois établi hier, alors que les raffineries de la côte est des Etats-Unis diminuaient leurs activités en réponse à la menace des intempéries.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 85.62 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient auparavant oscillé entre 85.03 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 85.14 USD, leur plus bas, après avoir plongé lundi jusqu'à 84.7 USD, leur valeur la plus faible depuis le 12 juillet.
L'opérateur boursier CME Group avait auparavant déclaré que la corbeille demeurerait inactive, mais que les transactions électroniques de produits énergétiques ou non auraient tout de même lieu.
Le volume des échanges avait ainsi toutes les chances de rester réduit en raison de l'ouragan Sandy, dont la trajectoire le long de la côte est des Etats-Unis faisait l'objet de toutes les attentions.
Clle-ci avait touché le sud de l'état du New Jersey dans la soirée d'hier, causant des dégâts importants lors de ses déplacements dans la région.
Le centre national d'étude detels phénomènes a toutefois précisé que la tempête, la plus importante jamais enregistrée dans l'Atlantique, avait été dégradée au rang de cyclone post-tropical.
Cela n'a pas empêché six usines de raffinage, représentant 1.22 millions de barils quotidiens sur les 1.29 millinos régionaux, de limiter leur production, laissant à craindre une ralentissement de la demande à court terme.
L'institut du pétrole américain a pour sa part estimé nécessaire de "ré-évaluer" la diffusion de son rapport hebdomadaire sur l'état des stocks pétroliers nationaux, qui devait avoir lieu cet après-midi.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis a carrément annoncé que le sien ne serait pas divulgué demain comme prévu en raison des retards météorologiques.
Son bureau de Washington a du coup précisé dans un courrier électronique qu'il pourrait ainsi devoir attendre le premier novembre.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Le moral de la zone euro a quand à lui repris des couleurs après que des chiffres officiels aient montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, au lieu des 0.4% redoutés.
Cette information était la bienvenue au lendemain de l'intervention de Mariano Rajoy, son premier ministre, affirmant hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
Une telle prise de position permettrait du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, mais elle impliquerait aussi de soumettre son budget à l'approbation des bailleurs de fonds, ce qui ne l'a pas incité à aller dans cette direction.
Mais la nervosité demeurait palpable suite aux menaces de renversement du gouvernement italien brandies par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi, alors que Rome s'apprêtait pour sa part à émettre jusqu'à 7 milliards d'euros d'obligations à la mi-journée.
Les produits énergétiques demeuraient malgré tout malmenés par l'angoisse d'une perte de vitesse de la relance mondiale et de son éventuel impact sur leur consommation.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont cependant laissé échapper 0.05% pour trébucher à 19.39 USD du baril dans le même temps, soit 23.77 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs cours, établis à Londres, ont pris ces derniers temps de l'avance sur leurs homologues new-yorkais, en raison de la peur de perturbations dans les livraisons moyen-orientales et d'une diminution de la production en Mer du Nord.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 85.62 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient auparavant oscillé entre 85.03 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 85.14 USD, leur plus bas, après avoir plongé lundi jusqu'à 84.7 USD, leur valeur la plus faible depuis le 12 juillet.
L'opérateur boursier CME Group avait auparavant déclaré que la corbeille demeurerait inactive, mais que les transactions électroniques de produits énergétiques ou non auraient tout de même lieu.
Le volume des échanges avait ainsi toutes les chances de rester réduit en raison de l'ouragan Sandy, dont la trajectoire le long de la côte est des Etats-Unis faisait l'objet de toutes les attentions.
Clle-ci avait touché le sud de l'état du New Jersey dans la soirée d'hier, causant des dégâts importants lors de ses déplacements dans la région.
Le centre national d'étude detels phénomènes a toutefois précisé que la tempête, la plus importante jamais enregistrée dans l'Atlantique, avait été dégradée au rang de cyclone post-tropical.
Cela n'a pas empêché six usines de raffinage, représentant 1.22 millions de barils quotidiens sur les 1.29 millinos régionaux, de limiter leur production, laissant à craindre une ralentissement de la demande à court terme.
L'institut du pétrole américain a pour sa part estimé nécessaire de "ré-évaluer" la diffusion de son rapport hebdomadaire sur l'état des stocks pétroliers nationaux, qui devait avoir lieu cet après-midi.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis a carrément annoncé que le sien ne serait pas divulgué demain comme prévu en raison des retards météorologiques.
Son bureau de Washington a du coup précisé dans un courrier électronique qu'il pourrait ainsi devoir attendre le premier novembre.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Le moral de la zone euro a quand à lui repris des couleurs après que des chiffres officiels aient montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, au lieu des 0.4% redoutés.
Cette information était la bienvenue au lendemain de l'intervention de Mariano Rajoy, son premier ministre, affirmant hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
Une telle prise de position permettrait du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, mais elle impliquerait aussi de soumettre son budget à l'approbation des bailleurs de fonds, ce qui ne l'a pas incité à aller dans cette direction.
Mais la nervosité demeurait palpable suite aux menaces de renversement du gouvernement italien brandies par l'ancien premier ministre Silvio Berlusconi, alors que Rome s'apprêtait pour sa part à émettre jusqu'à 7 milliards d'euros d'obligations à la mi-journée.
Les produits énergétiques demeuraient malgré tout malmenés par l'angoisse d'une perte de vitesse de la relance mondiale et de son éventuel impact sur leur consommation.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont cependant laissé échapper 0.05% pour trébucher à 19.39 USD du baril dans le même temps, soit 23.77 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs cours, établis à Londres, ont pris ces derniers temps de l'avance sur leurs homologues new-yorkais, en raison de la peur de perturbations dans les livraisons moyen-orientales et d'une diminution de la production en Mer du Nord.