Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, mais culminait au plus haut depuis six mois contre son homologue britannique suite à une étude sur l'inflation là où elle a cours, et reprenait le dessus par rapport au yen, avec les yeux sur la rencontre du G20 de fin de semaine.
En fin de première partie de séance européenne, la livre sterling a fléchi devant lui, le GBP/USD plongeant de 0.63% pour sombrer à 1.5562, son niveau le plus bas depuis août.
Cette dernière s'est retrouvée sur la sellette après que la Banque d'Angleterre ait déploré dans son rapport que l'inflation avait des chances de se situer vers 2.3% dans deux ans, soit nettement moins que les 1.8% espérés en novembre, avant de repasser au premier trimestre 2016 sous les 2% qu'elle vise.
Elle a ajouté que la croissance économique resterait probablement inférieure à ses niveaux d'avant la crise jusqu'en 2015, et qu'elle se tenait prête à procéder à davantage d'actions stimulatrices.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY s'élevant de 0.16% pour grimper à 93.6.
La prudence restait en effet de mise, après que le groupe des 7 pays les plus développés ait confirmé son engagement à laisser le marché des changes évoluer librement, et sans établir d'objectifs de taux.
Elle était de plus renforcée par l'imminence des conclusions du conseil de direction de la Banque du Japon qui s'achèvera demain, bien qu'aucun bouleversement ne soit attendu avant la nomination de son prochain gouverneur.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à l'euro, l'EUR/USD prenant 0.26% pour se hisser à 1.3487.
Une étude officielle a quand à elle signalé que la production industrielle de la zone euro avait augmenté de 0.7% en décembre, surpassant largement les 0.2% espérés après les 0.7% de revers du mois précédent, qui était cependant nettement plus grave que les 0.3% évalués au préalable.
Le franc suisse a d'autre part fait mieux que résister à sa pression, l'USD/CHF glissant de 0.01% pour déraper à 0.9171.
La devise helvète n'a guère fait cas de l'information gouvernementale selon laquelle les coûts de production avaient trébuché& de 0.1% en janvier, alors qu'un frémissement de 0.3% était attendu.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.1% pour aller vers 1.0032, l'AUD/USD raflant 0.22% pour monter à 1.0329 et le NZD/USD engrangeant 0.05% pour faire un saut de puce à 0.8409.
La seconde a repris des couleurs après que le baromètre du moral des consommateurs d'Australie aitnettement relevé la tête le mois dernier, laissant à penser que la série de réduction des taux d'intérêt avait consolidé la confiance dans l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 80.03.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des particuliers.
En fin de première partie de séance européenne, la livre sterling a fléchi devant lui, le GBP/USD plongeant de 0.63% pour sombrer à 1.5562, son niveau le plus bas depuis août.
Cette dernière s'est retrouvée sur la sellette après que la Banque d'Angleterre ait déploré dans son rapport que l'inflation avait des chances de se situer vers 2.3% dans deux ans, soit nettement moins que les 1.8% espérés en novembre, avant de repasser au premier trimestre 2016 sous les 2% qu'elle vise.
Elle a ajouté que la croissance économique resterait probablement inférieure à ses niveaux d'avant la crise jusqu'en 2015, et qu'elle se tenait prête à procéder à davantage d'actions stimulatrices.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY s'élevant de 0.16% pour grimper à 93.6.
La prudence restait en effet de mise, après que le groupe des 7 pays les plus développés ait confirmé son engagement à laisser le marché des changes évoluer librement, et sans établir d'objectifs de taux.
Elle était de plus renforcée par l'imminence des conclusions du conseil de direction de la Banque du Japon qui s'achèvera demain, bien qu'aucun bouleversement ne soit attendu avant la nomination de son prochain gouverneur.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à l'euro, l'EUR/USD prenant 0.26% pour se hisser à 1.3487.
Une étude officielle a quand à elle signalé que la production industrielle de la zone euro avait augmenté de 0.7% en décembre, surpassant largement les 0.2% espérés après les 0.7% de revers du mois précédent, qui était cependant nettement plus grave que les 0.3% évalués au préalable.
Le franc suisse a d'autre part fait mieux que résister à sa pression, l'USD/CHF glissant de 0.01% pour déraper à 0.9171.
La devise helvète n'a guère fait cas de l'information gouvernementale selon laquelle les coûts de production avaient trébuché& de 0.1% en janvier, alors qu'un frémissement de 0.3% était attendu.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.1% pour aller vers 1.0032, l'AUD/USD raflant 0.22% pour monter à 1.0329 et le NZD/USD engrangeant 0.05% pour faire un saut de puce à 0.8409.
La seconde a repris des couleurs après que le baromètre du moral des consommateurs d'Australie aitnettement relevé la tête le mois dernier, laissant à penser que la série de réduction des taux d'intérêt avait consolidé la confiance dans l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.1% pour se situer à 80.03.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des particuliers.