Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi, alors que des enchères de dettes espagnoles et italiennes étaient attendues pour la mi-journée, leur avancée ayant été limitée par les craintes grandissantes au sujet de résultats de summet de l'Union Européenne de cette semaine.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.51%, le CAC 40 français de 0.35%, et le DAX 30 allemand de 0.47%.
La nervosité était palpable à l'approche de la réunion des chefs des états membres de l'UE de jeudi, alors que se renforçait le scepticisme sur leur capacité à imprimer des progrès sur l'intégration fiscale et l'autorisation pour le mécanisme de sauvetage d'acquérir des dettes gouvernementales.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait annihilié hier tout espoir d'émission d'Eurobons du trésor mutualisés destinés à aider les pays en difficulté, affirmant que l'idée était "économiquement mauvaise" et "contre-productive".
Le nouveau ministre des finances grec a pour sa part été forcé de démissionner hier pour cause de problèmes de santé, tandis que le premier ministre Antonis Samaras a dû décliner la participation aux pourparlers de l'UE de cette semaine, invoquant une récente intervention de chirurgie oculaire.
La prudence restait aussi de mise après que l'agence de notation Moody's ait dégradé hier soir 28 banques espagnoles, en raison de leur vulnérabilité envers la bulle immobilière, et ce alors que Madrid venait de formuler officiellement sa demande d'aide destinée à les soutenir, pouvant atteindre 100 milliards d'euros, auprès de ses partenaires du bloc.
La finance ne s'en trouvait pas moins en forme, l'italien Unicredit en tête avec 1.63%, suivi de près par l'espagnol BBVA avec 1.09%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec respectivement 1.37 et 1.19%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank fermaient la marche avec 0.99 et 0.37% d'amélioration.
Adecco, première agence d'intérim mondiale, s'est pour sa part envolée de 2.52%, la compagnie suisse ayant révélé que son programme de rachats d'actions serait lancé à la mi-juillet et serait financé à crédit.
Les constructeurs automobiles ont par contre subi un coup de frein, BMW dérapant de 2.18%, Volkswagen de 1.72% et Daimler de 1.36%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.34%, tiré vers le haut par l'énergie et les mines.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi repris 1.38 et 0.88%, les poids lourd des hydrocarbures Anglo American et BP faisant de même avec 1.38 et 0.89%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas à négliger, avec 0.35 et 1.39%.
Les laboratoires pharmaceutiques Shire ont quand à eux engrangé 2.38% après que la Société Générale et la Berenberg Bank aient estimé qu'il fallait acquérir de ses parts au lieu d'attendre.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland glissant de 1.14%, Lloyds Banking de 0.92% et Barclays de 0.6%, tandis que HSBC Holdings arrachait 0.64%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.38%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.43% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.46%.
Une étude du groupe de recherches économiques Gfk avait pour sa part montré ce matin que le moral des consommateurs allemands avait progressé en juin de manière inattendue, se hissant de 5.7 à 5.8, alors qu'une stagnation à 5.7 était envisagée.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis fourniront de leur côté cet après-midi leurs chiffres concernant l'évolution des prix des logements, tandis que les autorités nationales rendront leur rapport sur la confiance des particuliers.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.51%, le CAC 40 français de 0.35%, et le DAX 30 allemand de 0.47%.
La nervosité était palpable à l'approche de la réunion des chefs des états membres de l'UE de jeudi, alors que se renforçait le scepticisme sur leur capacité à imprimer des progrès sur l'intégration fiscale et l'autorisation pour le mécanisme de sauvetage d'acquérir des dettes gouvernementales.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait annihilié hier tout espoir d'émission d'Eurobons du trésor mutualisés destinés à aider les pays en difficulté, affirmant que l'idée était "économiquement mauvaise" et "contre-productive".
Le nouveau ministre des finances grec a pour sa part été forcé de démissionner hier pour cause de problèmes de santé, tandis que le premier ministre Antonis Samaras a dû décliner la participation aux pourparlers de l'UE de cette semaine, invoquant une récente intervention de chirurgie oculaire.
La prudence restait aussi de mise après que l'agence de notation Moody's ait dégradé hier soir 28 banques espagnoles, en raison de leur vulnérabilité envers la bulle immobilière, et ce alors que Madrid venait de formuler officiellement sa demande d'aide destinée à les soutenir, pouvant atteindre 100 milliards d'euros, auprès de ses partenaires du bloc.
La finance ne s'en trouvait pas moins en forme, l'italien Unicredit en tête avec 1.63%, suivi de près par l'espagnol BBVA avec 1.09%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste avec respectivement 1.37 et 1.19%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank fermaient la marche avec 0.99 et 0.37% d'amélioration.
Adecco, première agence d'intérim mondiale, s'est pour sa part envolée de 2.52%, la compagnie suisse ayant révélé que son programme de rachats d'actions serait lancé à la mi-juillet et serait financé à crédit.
Les constructeurs automobiles ont par contre subi un coup de frein, BMW dérapant de 2.18%, Volkswagen de 1.72% et Daimler de 1.36%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.34%, tiré vers le haut par l'énergie et les mines.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi repris 1.38 et 0.88%, les poids lourd des hydrocarbures Anglo American et BP faisant de même avec 1.38 et 0.89%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas à négliger, avec 0.35 et 1.39%.
Les laboratoires pharmaceutiques Shire ont quand à eux engrangé 2.38% après que la Société Générale et la Berenberg Bank aient estimé qu'il fallait acquérir de ses parts au lieu d'attendre.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland glissant de 1.14%, Lloyds Banking de 0.92% et Barclays de 0.6%, tandis que HSBC Holdings arrachait 0.64%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.38%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.43% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.46%.
Une étude du groupe de recherches économiques Gfk avait pour sa part montré ce matin que le moral des consommateurs allemands avait progressé en juin de manière inattendue, se hissant de 5.7 à 5.8, alors qu'une stagnation à 5.7 était envisagée.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis fourniront de leur côté cet après-midi leurs chiffres concernant l'évolution des prix des logements, tandis que les autorités nationales rendront leur rapport sur la confiance des particuliers.