Investing.com - Les places d'Asie étaient mitigées ce vendredi matin, bien que les bons résultats des usines chinoises dévilés hier continuent à inspirer la confiance.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.73%, l'ASX/200 australien laissait échapper 0.07% et le Nikkei 225 japonais demeurait clos en raison d'un jour férié.
Le moral était en effet revenu après qu'il ait été révélé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre, rassurant ainsi ceux qui craignaient une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
L'atmosphère s'était déjà éclaircie après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré de son côté qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
Leurs pourparlers de mardi avec le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtés à une impasse, privant ainsi Athènes de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Hong Kong était donc en forme, grâce notamment à ses compagnies d'assurance.
China Life Insurance bondissait alors de 1.33% et Ping An de 0.94%.
L'énergie était aussi de la fête, China Shenhua grimpant de 1.67% et Sino Land de 1.03%, surpassés par China Resources avec 2.66%.
Tout n'était cependant pas rose, Jiugui Liquor plongeant de 10% suite aux accusations selon lesquels ses produits auraient été frelatés avec des produits potentiellemennt toxiques, alors que sa cotation avait été suspendue depuis le début de semaine.
Sydney était par contre sur la défensive, la finance se trouvant scrutée à la loupe après que le directeur général de d'Austalia and New Zealand Banking, troisième prêteur national, déclarant que le secteur aurait besoin d'une recapitalisation modeste afin de se conformer aux règles bancaires mondiales de Bâle III.
ANZ Banking a du coup dérapé de 0.59%, la National Australia Bank limitant les dégâts à 0.04%, tandis que la Commonwealth Bank of Australia et Westpac Banking avançaient respectivement de 0.48 et 0.44%.
Les mastodontes des matières premières que sont Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.18% tous les deux, mais le fournisseur de services miniers Ausdrill sombrait de 14.63% suite à l'aveu d'une diminution de 50 millions d'USD de ses rentrées annuelles probables.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modérément positif, alors que les efforts pour résoudre la crise grecque se poursuivaient.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.22%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.16%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.09% et sur le FTSE 100 britannique à 0.08%.
L'Allemagne comptait rendre aujourd'hui un rapport sur la confiance dans les affaires, tandis que les chefs de l'Union Européenne continueront à discuter à Bruxelles au sujet de l'Espagne et de la Grèce, ainsi que du renforcement de la coopération fiscale et monétaire régionale.
Le volume des transactions devrait toutefois être limité, la séance américaine devant être abrégée en raison du pont de Thanksgiving.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.73%, l'ASX/200 australien laissait échapper 0.07% et le Nikkei 225 japonais demeurait clos en raison d'un jour férié.
Le moral était en effet revenu après qu'il ait été révélé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre, rassurant ainsi ceux qui craignaient une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
L'atmosphère s'était déjà éclaircie après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré de son côté qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
Leurs pourparlers de mardi avec le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtés à une impasse, privant ainsi Athènes de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Hong Kong était donc en forme, grâce notamment à ses compagnies d'assurance.
China Life Insurance bondissait alors de 1.33% et Ping An de 0.94%.
L'énergie était aussi de la fête, China Shenhua grimpant de 1.67% et Sino Land de 1.03%, surpassés par China Resources avec 2.66%.
Tout n'était cependant pas rose, Jiugui Liquor plongeant de 10% suite aux accusations selon lesquels ses produits auraient été frelatés avec des produits potentiellemennt toxiques, alors que sa cotation avait été suspendue depuis le début de semaine.
Sydney était par contre sur la défensive, la finance se trouvant scrutée à la loupe après que le directeur général de d'Austalia and New Zealand Banking, troisième prêteur national, déclarant que le secteur aurait besoin d'une recapitalisation modeste afin de se conformer aux règles bancaires mondiales de Bâle III.
ANZ Banking a du coup dérapé de 0.59%, la National Australia Bank limitant les dégâts à 0.04%, tandis que la Commonwealth Bank of Australia et Westpac Banking avançaient respectivement de 0.48 et 0.44%.
Les mastodontes des matières premières que sont Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.18% tous les deux, mais le fournisseur de services miniers Ausdrill sombrait de 14.63% suite à l'aveu d'une diminution de 50 millions d'USD de ses rentrées annuelles probables.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modérément positif, alors que les efforts pour résoudre la crise grecque se poursuivaient.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.22%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.16%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.09% et sur le FTSE 100 britannique à 0.08%.
L'Allemagne comptait rendre aujourd'hui un rapport sur la confiance dans les affaires, tandis que les chefs de l'Union Européenne continueront à discuter à Bruxelles au sujet de l'Espagne et de la Grèce, ainsi que du renforcement de la coopération fiscale et monétaire régionale.
Le volume des transactions devrait toutefois être limité, la séance américaine devant être abrégée en raison du pont de Thanksgiving.