Investing.com - La Bourse de Paris s’inscrivait en forte baisse lundi, en repli de 1,39% à mi-séance, alors que les investisseurs restaient prudents avant le sommet européen de cette semaine tandis que les inquiétudes au sujet de la crise de la dette continuaient de peser sur le marché.
L'Italie devait par ailleurs procéder à plusieurs émissions de dette dans les prochains jours, alors que Madrid devait officiellement formuler lundi sa demande d'aide pour renflouer son système bancaire.
Paris devait également procéder à l'adjudication de 7,1 à 8,4 milliards d'euros de bons du Trésor à court terme, plus tard lundi.
L’unique hausse de l’indice parisien revenait à EADS, qui engrangeait 1,40% à mi-séance, alors que le nouveau patron d’Airbus Fabrice Brégier, déclarait plus tôt au Financial Times que l’objectif de livraison du nouvel A350 au premier semestre 2014 sera "difficile" mais "tenable.
A l’inverse, les valeurs financières restaient lourdement affectées par les inquiétudes liées à la crise de la dette. A mi-séance, BNP Paribas reculait de 1,87%, Société Générale abandonnait 1,63% et Crédit Agricole pliait de 1,16%.
Les trois établissements français faisaient partie des 15 banques mondiales qui ont vu leurs notes déclassées par Moody’s la semaine dernière. Par ailleurs, la BCE a annoncé vendredi un nouvel assouplissement de ses règles de collatéral pour les opérations de refinancement, acceptant des actifs de moindre qualité.
Les valeurs cycliques étaient aussi particulièrement touchées. ArcelorMittal cédait 0,55% à la mi-journée, tandis que Lafarge et Vallourec perdaient 0,81% et 2,24% respectivement.
Standard & Poor's a abaissé sa perspective sur la dette de Valourec de "stable" à "négative" tout en confirmant ses notes de long et court terme BBB+/A-2.
Egalement dans le rouge, Vivendi a abandonné 1,96% après une réunion du Conseil de Surveillance et du directoire du groupe ce week-end destinée à étudier les orientations stratégiques du groupe.
La division de téléphonie SFR cherche, par ailleurs, à réduire ses dépenses de 800 millions d'euros. Selon le Journal du Dimanche, 1.000 emplois seraient menacés.
Air Liquide lâchait 0,75% après que le géant des gaz industriels a annoncé le rachat de 70,49% du capital de LVL Médical au prix de 30,89 euros par action, soit un montant net de 316 millions d'euros.
Enfin, Total a plié de 0,81% après l’annonce par Total Gabon de la cession d'une participation de 21,25% sur le permis de Diaba à Marathon Upstream Gabon Ltd, filiale de la société américaine Marathon Oil Corporation.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 1,66%, le DAX reculait de 1,45% et le Footsie 100 perdait 0,73%.
Un seul indicateur américain était attendu dans l’après-midi : les ventes de logements neufs du mois de mai.
L'Italie devait par ailleurs procéder à plusieurs émissions de dette dans les prochains jours, alors que Madrid devait officiellement formuler lundi sa demande d'aide pour renflouer son système bancaire.
Paris devait également procéder à l'adjudication de 7,1 à 8,4 milliards d'euros de bons du Trésor à court terme, plus tard lundi.
L’unique hausse de l’indice parisien revenait à EADS, qui engrangeait 1,40% à mi-séance, alors que le nouveau patron d’Airbus Fabrice Brégier, déclarait plus tôt au Financial Times que l’objectif de livraison du nouvel A350 au premier semestre 2014 sera "difficile" mais "tenable.
A l’inverse, les valeurs financières restaient lourdement affectées par les inquiétudes liées à la crise de la dette. A mi-séance, BNP Paribas reculait de 1,87%, Société Générale abandonnait 1,63% et Crédit Agricole pliait de 1,16%.
Les trois établissements français faisaient partie des 15 banques mondiales qui ont vu leurs notes déclassées par Moody’s la semaine dernière. Par ailleurs, la BCE a annoncé vendredi un nouvel assouplissement de ses règles de collatéral pour les opérations de refinancement, acceptant des actifs de moindre qualité.
Les valeurs cycliques étaient aussi particulièrement touchées. ArcelorMittal cédait 0,55% à la mi-journée, tandis que Lafarge et Vallourec perdaient 0,81% et 2,24% respectivement.
Standard & Poor's a abaissé sa perspective sur la dette de Valourec de "stable" à "négative" tout en confirmant ses notes de long et court terme BBB+/A-2.
Egalement dans le rouge, Vivendi a abandonné 1,96% après une réunion du Conseil de Surveillance et du directoire du groupe ce week-end destinée à étudier les orientations stratégiques du groupe.
La division de téléphonie SFR cherche, par ailleurs, à réduire ses dépenses de 800 millions d'euros. Selon le Journal du Dimanche, 1.000 emplois seraient menacés.
Air Liquide lâchait 0,75% après que le géant des gaz industriels a annoncé le rachat de 70,49% du capital de LVL Médical au prix de 30,89 euros par action, soit un montant net de 316 millions d'euros.
Enfin, Total a plié de 0,81% après l’annonce par Total Gabon de la cession d'une participation de 21,25% sur le permis de Diaba à Marathon Upstream Gabon Ltd, filiale de la société américaine Marathon Oil Corporation.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 1,66%, le DAX reculait de 1,45% et le Footsie 100 perdait 0,73%.
Un seul indicateur américain était attendu dans l’après-midi : les ventes de logements neufs du mois de mai.