Investing.com - La livre sterling a vu son avancée face au dollar U.S. contrée ce lundi, après que des résultats préliminaires aient montré que l'économie britannique avait connu d'avril à juin sa pire régression depuis le premier trimestre 2009.
La paire GBP/USD est redescendue depuis 1.555, son cours le plus élevé du jour, jusqu'à 1.5479 en première partie de séance européenne, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5412, son plancher du 13 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1.555, son plafond matinal.
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a en effet révélé que le produit intérieur brut du pays avait reculé de 0.7% au second trimestre, dépassant largement les 0.2% déjà redoutés, et constituant neuf mois de contraction d'affilée.
L'économie nationale avait déjà laissé filer 0.3% lors de la période précédente.
Elle aura ainsi subi une régression de 0.8% à l'année, alors que les experts espéraient qu'elle se limite à 0.3%.
Il était aussi précisé que le secteur tertiaire avait cédé 0.1% dans le même temps, et les industries 1.3%, tandis que le domaine du bâtiment s'effondrait de 5.2%.
L'organisme estimait que le jour férié supplémentaire en l'honneur du jubilé de diamant de la reine et le temps déplorable avaient nui aux affaires.
La monnaie de la Grande-Bretagne s'est du coup éloignée de son pic de trois ans et demi par rapport à l'euro, l'EUR/GBP engrangeant 0.7% pour se hisser à 0.7832.
Ce dernier a de plus repris des couleurs après qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait affirmé qu'il existait des arguments en faveur de l'octroi au Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours à la région, d'une licence bancaire, ce qui en augmenterait la puissance de feu.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler aujourd'hui le nombre des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières nationales.
La paire GBP/USD est redescendue depuis 1.555, son cours le plus élevé du jour, jusqu'à 1.5479 en première partie de séance européenne, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5412, son plancher du 13 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1.555, son plafond matinal.
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a en effet révélé que le produit intérieur brut du pays avait reculé de 0.7% au second trimestre, dépassant largement les 0.2% déjà redoutés, et constituant neuf mois de contraction d'affilée.
L'économie nationale avait déjà laissé filer 0.3% lors de la période précédente.
Elle aura ainsi subi une régression de 0.8% à l'année, alors que les experts espéraient qu'elle se limite à 0.3%.
Il était aussi précisé que le secteur tertiaire avait cédé 0.1% dans le même temps, et les industries 1.3%, tandis que le domaine du bâtiment s'effondrait de 5.2%.
L'organisme estimait que le jour férié supplémentaire en l'honneur du jubilé de diamant de la reine et le temps déplorable avaient nui aux affaires.
La monnaie de la Grande-Bretagne s'est du coup éloignée de son pic de trois ans et demi par rapport à l'euro, l'EUR/GBP engrangeant 0.7% pour se hisser à 0.7832.
Ce dernier a de plus repris des couleurs après qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait affirmé qu'il existait des arguments en faveur de l'octroi au Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours à la région, d'une licence bancaire, ce qui en augmenterait la puissance de feu.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler aujourd'hui le nombre des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières nationales.