Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture légèrement positive ce jeudi, les yeux étant tournés vers les résultats de fin de journée, l'attente d'accomodements supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale se faisant de plus en plus incertaine.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.11%.
L'espoir de nouvelles injections de capitaux de la part de la banque centrale américaine avait en effet du plomb dans l'aile après qu'il ait été montré mercredi que la production industrielle des Etats-Unis avait davantage augmenté en juillet qu'espéré.
Une autre étude avait signalé auparavant que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant fin à quatre mois de vaches maigres, étouffant du même coup les attentes d'injections de capitaux de la part de la banque centrale américaine.
Mais la prudence demeurait toutefois de mise après que d'autres informations révélées le même jour aient fait savoir que le baromètre de l'activité des usines dans la région de New York avait fléchi en août pour la première fois depuis octobre 2011.
La technologie était au centre des attentions, après que Cisco Systems ait récompensé ses investisseurs avec une explosion de 75% de son dividende suite à des résultats trimestriels supérieurs aux attentes, lui faisant engranger 5.59% en pré-ouverture, bien qu'elle n'ait offert aucun espoir que les difficultés rencontrées en Europe soient résolues à court terme.
Parmi les autres proclamations, Applied Materials, premier fournisseur de puces informatiques, prévoyait des bénéfices décevants pour le trimestre en cours, et son directeur général avait laissé entendre qu'il pourrait se défaire de ses canards boîteux périphériques, dérapant de 3.98% après la fermeture.
La guerre juridique entre Samsung et Apple s'était poursuivie hier, le second ayant produit deux documents montrant que Google avait poussé à une refonte de la famille Galaxy en raison d'une trop grande ressemblance avec les intelliphones et tablettes de la firme à la pomme.
Le fabricant de téléphones mobiles Nokia a par contre trébuché de 1.14% après avoir annoncé hier une présentation commune avec Microsoft pour le 5 septembre, reforçant les rumeurs selon lesquelles les deux partenaires présenteraient enfin un intelliphone de nouvelle génération sous Windows avant que leur rival fondé par Steve Jobs fasse de même avec son prochain iPhone.
La finance était aussi sous les feux de l'actualité, l'américain JP Morgan semblant se trouver parmi les sept banques de la planète ayant reçu une citation à comparaître mercredi par les autorités des Etats-Unis dans le cadre du scandale de la manipulation du taux Libor, Citigroup ayant reçu la sienne plus tôt dans l'année.
Parmi les actions à surveiller, il ne fallait pas oublier Facebook, le géant des réseaux sociaux s'apprêtant aujourd'hui à libérer 271.1 millions de ses actions, augmentant ainsi de 60% le volume brassé.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.1%, le CAC 40 français de 0.08%, le DAX 30 allemand de 0.1% et le FTSE 100 britannique de 0.19%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 0.45%, mais le Nikkei 225 japonais avait raflé 1.88%.
Les autorités américaines comptaient annoncer de leur côté cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, et fournir leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier celui des lancements de chantiers et une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.11%.
L'espoir de nouvelles injections de capitaux de la part de la banque centrale américaine avait en effet du plomb dans l'aile après qu'il ait été montré mercredi que la production industrielle des Etats-Unis avait davantage augmenté en juillet qu'espéré.
Une autre étude avait signalé auparavant que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant fin à quatre mois de vaches maigres, étouffant du même coup les attentes d'injections de capitaux de la part de la banque centrale américaine.
Mais la prudence demeurait toutefois de mise après que d'autres informations révélées le même jour aient fait savoir que le baromètre de l'activité des usines dans la région de New York avait fléchi en août pour la première fois depuis octobre 2011.
La technologie était au centre des attentions, après que Cisco Systems ait récompensé ses investisseurs avec une explosion de 75% de son dividende suite à des résultats trimestriels supérieurs aux attentes, lui faisant engranger 5.59% en pré-ouverture, bien qu'elle n'ait offert aucun espoir que les difficultés rencontrées en Europe soient résolues à court terme.
Parmi les autres proclamations, Applied Materials, premier fournisseur de puces informatiques, prévoyait des bénéfices décevants pour le trimestre en cours, et son directeur général avait laissé entendre qu'il pourrait se défaire de ses canards boîteux périphériques, dérapant de 3.98% après la fermeture.
La guerre juridique entre Samsung et Apple s'était poursuivie hier, le second ayant produit deux documents montrant que Google avait poussé à une refonte de la famille Galaxy en raison d'une trop grande ressemblance avec les intelliphones et tablettes de la firme à la pomme.
Le fabricant de téléphones mobiles Nokia a par contre trébuché de 1.14% après avoir annoncé hier une présentation commune avec Microsoft pour le 5 septembre, reforçant les rumeurs selon lesquelles les deux partenaires présenteraient enfin un intelliphone de nouvelle génération sous Windows avant que leur rival fondé par Steve Jobs fasse de même avec son prochain iPhone.
La finance était aussi sous les feux de l'actualité, l'américain JP Morgan semblant se trouver parmi les sept banques de la planète ayant reçu une citation à comparaître mercredi par les autorités des Etats-Unis dans le cadre du scandale de la manipulation du taux Libor, Citigroup ayant reçu la sienne plus tôt dans l'année.
Parmi les actions à surveiller, il ne fallait pas oublier Facebook, le géant des réseaux sociaux s'apprêtant aujourd'hui à libérer 271.1 millions de ses actions, augmentant ainsi de 60% le volume brassé.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.1%, le CAC 40 français de 0.08%, le DAX 30 allemand de 0.1% et le FTSE 100 britannique de 0.19%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 0.45%, mais le Nikkei 225 japonais avait raflé 1.88%.
Les autorités américaines comptaient annoncer de leur côté cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, et fournir leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier celui des lancements de chantiers et une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.