Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, l'action de la Banque du Japon destinée à juguler la flambée persistante de sa devise ayant augmenté son attrait.
En première partie de séance européenne, il s'est envolé contre le yen, l'USD/JPY s'approchant d'un pic des deux derniers mois en engrangeant 2.96% pour s'élever à 78.07.
Les autorités nippones ont en effet déclenché une opération devant mettre fin à la surévaluation du yen après que le billet vert ait établi un nouveau pire niveau historique à 75.56 JPY sur les premiers échanges.
Jun Azumi, le ministre des finances du pays, a déclaré que Tokyo avait agi unilatéralement et qu'elle continuerait à le faire jusqu'à être satisfaite des résultats, précisant avoir pris cette décision en raison de "mouvements spéculatifs" de sa devise ne reflétant pas les réalités économiques nationales.
L'euro a pour sa part fortement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 1.06% pour tomber à 1.3996.
La monnaie unique s'est retrouvée sur la sellette, les investisseurs craignant un échec du plan de renforcement des prêteurs régionaux, et des difficultés dans le financement de l'augmentation du folume du fonds de secours européen.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD reculant de 0.65% pour glisser à 1.6021 et l'USD/CHF raflant 0.85% pour culminer à 0.8708.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.57% pour monter à 0.9975, l'AUD/USD cédant 1.38% pour se retrouver à 1.0553 et le NZD/USD se laissant arracher 1.27% pour toucher le fond à 0.8105.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que le nombre des permis de construire délivrés en Nouvelle-Zélande au cours du mois de septembre avait plongé sans crier gare, s'effondrant de 17% après avoir pourtant bondi de 16.6% au cours du mois précédent.
Les experts espéraient pourtant les voir proggresser de 2% pour la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a conquis 1.23% pour se situer à 76.14.
Les Etats-Unis devraient quand à eux faire connaître leurs informations concernant l'activité manufacturière de la région de Chicago dans l'après-midi.
En première partie de séance européenne, il s'est envolé contre le yen, l'USD/JPY s'approchant d'un pic des deux derniers mois en engrangeant 2.96% pour s'élever à 78.07.
Les autorités nippones ont en effet déclenché une opération devant mettre fin à la surévaluation du yen après que le billet vert ait établi un nouveau pire niveau historique à 75.56 JPY sur les premiers échanges.
Jun Azumi, le ministre des finances du pays, a déclaré que Tokyo avait agi unilatéralement et qu'elle continuerait à le faire jusqu'à être satisfaite des résultats, précisant avoir pris cette décision en raison de "mouvements spéculatifs" de sa devise ne reflétant pas les réalités économiques nationales.
L'euro a pour sa part fortement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 1.06% pour tomber à 1.3996.
La monnaie unique s'est retrouvée sur la sellette, les investisseurs craignant un échec du plan de renforcement des prêteurs régionaux, et des difficultés dans le financement de l'augmentation du folume du fonds de secours européen.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD reculant de 0.65% pour glisser à 1.6021 et l'USD/CHF raflant 0.85% pour culminer à 0.8708.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.57% pour monter à 0.9975, l'AUD/USD cédant 1.38% pour se retrouver à 1.0553 et le NZD/USD se laissant arracher 1.27% pour toucher le fond à 0.8105.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que le nombre des permis de construire délivrés en Nouvelle-Zélande au cours du mois de septembre avait plongé sans crier gare, s'effondrant de 17% après avoir pourtant bondi de 16.6% au cours du mois précédent.
Les experts espéraient pourtant les voir proggresser de 2% pour la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a conquis 1.23% pour se situer à 76.14.
Les Etats-Unis devraient quand à eux faire connaître leurs informations concernant l'activité manufacturière de la région de Chicago dans l'après-midi.