Investing.com - Le dollar U.S. s'est retrouvé en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, après que les investisseurs aient manifesté une forte demande pour les dettes espagnoles, relâchant la pression exercée sur les coûts des emprunts des membres périphériques de la zone euro.
En seconde partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD prenant 0.3% pour monter à 1.3022.
L'Espagne a en effet écoulé en début de journée pour 6 milliards d'euros d'obligations à moyen et long terme, dépassant ainsi largement les 3.5 milliards visés.
Ce total comprenant notamment 2.5 milliards d'euros en bons du trésor à cinq ans à un taux moyen de 4.02%, soit nettement moins que les 5.27% enregistrés lors d'une vente similaire le mois dernier, mais aussi 1.4 milliards pour une échéance à dix ans, aveec 5.54% de dividendes contre 6.97% réalisés en novembre.
Cette réussite contrastait nettement avec le bond des taux italiens vers des sommets jamais vus depuis l'introduction de l'euro enregistrés hier.
La devise de l'Europe demeurait toutefois sous pression après que la Banque Centrale Européenne ait auparavant prévenu en déut de journée que le problème du surendettement régional demeurait une menace tangible pour les perspectives de croissance.
Cette informations survenait après qu'une étude ait montré que l'activité manufacturière de la zone euro avait redressé la tête de manière surprenante pour décembre, mais stagnait toutefois en zone de contraction pour le quatrième mois consécutif.
Une autre avait quand à elle fait savoir que l'inflation des prix au détail était restée stable sans surprise à 3% en décembre.
Le billet vert a aussi perdu du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD gagnant 0.3% pour se hisser à 1.5514.
Des informations officielles avaient indiqué dans la matinée que les ventes au détail britanniques avaient plongé de 0.4 en novembre, mais toutefois réalisé une augmentation de 0.7% sur les trois derniers mois par rapport au trimestre précédent, la plus forte depuis août 2010.
Il a également subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.34% pour descendre à 77.79 et l'USD/CHF dégringolant de 1.19% pour toucher le fond à 0.9419.
La devise helvétique a reondi après que la Banque Nationale Suisse ait annoncé le maintien de son taux plancher de 1.2 CHF par euro, et rappelé être décidée à le défendre avec "la plus farouche détermination".
Elle a aussi prévenu de l'importance des incertitudes concernant les perspectives économique mondiales, estimant qu'une nouvelle aggravation de la crise de la dette de la zone euro n'était pas inenvisageable, tout en maintenant son taux d'intérêt de base proche de zéro.
Les autorités fédérales ont quand à elles fait savoir que la production industrielle helvétique avait davantage diminué au troisième trimestre qu'il n'avait été redouté.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD reculant de 0.36% pour descendre à 1.0354, l'AUD/USD engrangeant 0.38% pour se retrouver à 0.9946 et le NZD/USD arrachant 0.29% pour culminer à 0.7524.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.36% pour se situer à 80.98.
Les Etats-Unis devaient pour leur part publier l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, l'inflation des prix à la production, et l'activité manufacturière dans les régions de New York et Philadelphie.
En seconde partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD prenant 0.3% pour monter à 1.3022.
L'Espagne a en effet écoulé en début de journée pour 6 milliards d'euros d'obligations à moyen et long terme, dépassant ainsi largement les 3.5 milliards visés.
Ce total comprenant notamment 2.5 milliards d'euros en bons du trésor à cinq ans à un taux moyen de 4.02%, soit nettement moins que les 5.27% enregistrés lors d'une vente similaire le mois dernier, mais aussi 1.4 milliards pour une échéance à dix ans, aveec 5.54% de dividendes contre 6.97% réalisés en novembre.
Cette réussite contrastait nettement avec le bond des taux italiens vers des sommets jamais vus depuis l'introduction de l'euro enregistrés hier.
La devise de l'Europe demeurait toutefois sous pression après que la Banque Centrale Européenne ait auparavant prévenu en déut de journée que le problème du surendettement régional demeurait une menace tangible pour les perspectives de croissance.
Cette informations survenait après qu'une étude ait montré que l'activité manufacturière de la zone euro avait redressé la tête de manière surprenante pour décembre, mais stagnait toutefois en zone de contraction pour le quatrième mois consécutif.
Une autre avait quand à elle fait savoir que l'inflation des prix au détail était restée stable sans surprise à 3% en décembre.
Le billet vert a aussi perdu du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD gagnant 0.3% pour se hisser à 1.5514.
Des informations officielles avaient indiqué dans la matinée que les ventes au détail britanniques avaient plongé de 0.4 en novembre, mais toutefois réalisé une augmentation de 0.7% sur les trois derniers mois par rapport au trimestre précédent, la plus forte depuis août 2010.
Il a également subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.34% pour descendre à 77.79 et l'USD/CHF dégringolant de 1.19% pour toucher le fond à 0.9419.
La devise helvétique a reondi après que la Banque Nationale Suisse ait annoncé le maintien de son taux plancher de 1.2 CHF par euro, et rappelé être décidée à le défendre avec "la plus farouche détermination".
Elle a aussi prévenu de l'importance des incertitudes concernant les perspectives économique mondiales, estimant qu'une nouvelle aggravation de la crise de la dette de la zone euro n'était pas inenvisageable, tout en maintenant son taux d'intérêt de base proche de zéro.
Les autorités fédérales ont quand à elles fait savoir que la production industrielle helvétique avait davantage diminué au troisième trimestre qu'il n'avait été redouté.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD reculant de 0.36% pour descendre à 1.0354, l'AUD/USD engrangeant 0.38% pour se retrouver à 0.9946 et le NZD/USD arrachant 0.29% pour culminer à 0.7524.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.36% pour se situer à 80.98.
Les Etats-Unis devaient pour leur part publier l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, l'inflation des prix à la production, et l'activité manufacturière dans les régions de New York et Philadelphie.