Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face au franc suisse ce jeudi, s'extirpant d'une ornière des quatre derniers mois après que la Banque Nationale Suisse ait opté pour le statu quo, dans l'expectative puor la fin de journée de la prise de la cap de la Réserve Fédérale.
La paire USD/CHF est remontée jusqu'à 0.9392 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9387, prenant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.934, son niveau le plus bas depuis le 15 mai établi hier, et de rencontrer de la résistance à 0.9403, son plafond de mercredi.
La banque centrale helvète, dirigée par Thomas Jordan, avait auparavant fait savoir que son taux directeur demeurerait sans surprise à 0%.
Elle a revu à la baisse ses prévisions pour l'inflation de l'année en cours jusqu'à 0.6%, au lieu des 0.5% précédemment envisagés, de même que pour la croissance, passant des 1.5% espérés en juin à environ 1%, estimant que les risques de perte de vitesse de l'économie demeuraient élevés "à court terme".
Les conclusions cet après-midi des deux jours de réunion de la Fed faisaient aussi des gorges chaudes, sur fond d'hypothèse d'un nouveau coup de pouce dénommé "assouplissements quantitatifs" pour la plus grosse économie mondiale.
Le gouvernement des Etats-Unis fournira quand à lui cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
La monnaie helvète a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CHF gagnant 0.29% pour se hisser à 1.2124.
L'engagement de la BNS à défendre le taux plancher de 1.2 CHF par euro avec "la détermination la plus farouche" a aussi été réaffirmé.
Elle a ajouté "se tenir prête à des achats de devises en quantités illimités dans ce but", et "à prendre des mesures supplémentaires dès que le besoin s'en ferait sentir".
L'unité monétaire européenne a également bénéficié de la réussite d'une émission de bons du trésor italiens, dont les coûts ont continué à diminuer suite à l'annonce la semaine passée par Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, d'un nouveau programme d'achats d'obligations par celle-ci.
L'atmosphère était toujours ragaillardie, grâce à l'approbation hier par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent de la région.
La paire USD/CHF est remontée jusqu'à 0.9392 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9387, prenant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.934, son niveau le plus bas depuis le 15 mai établi hier, et de rencontrer de la résistance à 0.9403, son plafond de mercredi.
La banque centrale helvète, dirigée par Thomas Jordan, avait auparavant fait savoir que son taux directeur demeurerait sans surprise à 0%.
Elle a revu à la baisse ses prévisions pour l'inflation de l'année en cours jusqu'à 0.6%, au lieu des 0.5% précédemment envisagés, de même que pour la croissance, passant des 1.5% espérés en juin à environ 1%, estimant que les risques de perte de vitesse de l'économie demeuraient élevés "à court terme".
Les conclusions cet après-midi des deux jours de réunion de la Fed faisaient aussi des gorges chaudes, sur fond d'hypothèse d'un nouveau coup de pouce dénommé "assouplissements quantitatifs" pour la plus grosse économie mondiale.
Le gouvernement des Etats-Unis fournira quand à lui cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
La monnaie helvète a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CHF gagnant 0.29% pour se hisser à 1.2124.
L'engagement de la BNS à défendre le taux plancher de 1.2 CHF par euro avec "la détermination la plus farouche" a aussi été réaffirmé.
Elle a ajouté "se tenir prête à des achats de devises en quantités illimités dans ce but", et "à prendre des mesures supplémentaires dès que le besoin s'en ferait sentir".
L'unité monétaire européenne a également bénéficié de la réussite d'une émission de bons du trésor italiens, dont les coûts ont continué à diminuer suite à l'annonce la semaine passée par Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, d'un nouveau programme d'achats d'obligations par celle-ci.
L'atmosphère était toujours ragaillardie, grâce à l'approbation hier par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent de la région.