Investing.com - La livre sterling a laissé le dollar U.S. prendre le dessus ce venredi, malgré le soutien d'un résultat positif, après que des contre-performances américaines aient étouffé l'attente d'une réduction imminente des acquisitions de son émettrice.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5188 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5205, trébuchant de 0,18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5110, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1,5281, son plafond du 20 mai.
La Banque d'Angleterre a en effet fait savoir dans la matinée que les prêts nets accordés aux particuliers avaient augmenté de 1,4 milliards de GBP le mois dernier, soit nettement plus que les 900 000 GBP avancées dans le sillage des 1,1 milliards de GBP ajoutés en mars.
Le billet vert demeurait quand à lui sur la défensive après que les rumeurs de diminution de l'envergure des rachats de la Réserve Fédérale aient été mises à mal par de piètres résultats là où il a cours.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet dénombré hier un total hebdomadaire de 354.000 incriptions au chômage supplémentaires après correction saisonnière au cours de la semaine achevée le 25 mai, alors qu'un abaissement jusqu'à 340.000 était pressenti.
Celui du commerce a aussi constaté que le produit intérieur brut américaine n'avait augmenté que de 2,4% au cours du premier trimestre, après révision à la baisse des 2,5% estimés au préalable, au lieu du maintien anticipé.
L'association nationale des agents immobiliers précisait pour sa part que son indice des ventes de logements en cours avait augmenté de 0,3% le mois dernier, atteignant ainsi son plus haut niveau depuis avril 2010, mais était resté en deçà des 1,1% envisagés.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,06% pour glisser à 0,8558.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre révisé du moral des consommateurs mesuré par l'université du Michigan, ainsi que le volume des revenus personnels et celui des dépenses individuelles, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5188 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5205, trébuchant de 0,18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5110, son plancher de jeudi, et de rencontrer de la résistance à 1,5281, son plafond du 20 mai.
La Banque d'Angleterre a en effet fait savoir dans la matinée que les prêts nets accordés aux particuliers avaient augmenté de 1,4 milliards de GBP le mois dernier, soit nettement plus que les 900 000 GBP avancées dans le sillage des 1,1 milliards de GBP ajoutés en mars.
Le billet vert demeurait quand à lui sur la défensive après que les rumeurs de diminution de l'envergure des rachats de la Réserve Fédérale aient été mises à mal par de piètres résultats là où il a cours.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet dénombré hier un total hebdomadaire de 354.000 incriptions au chômage supplémentaires après correction saisonnière au cours de la semaine achevée le 25 mai, alors qu'un abaissement jusqu'à 340.000 était pressenti.
Celui du commerce a aussi constaté que le produit intérieur brut américaine n'avait augmenté que de 2,4% au cours du premier trimestre, après révision à la baisse des 2,5% estimés au préalable, au lieu du maintien anticipé.
L'association nationale des agents immobiliers précisait pour sa part que son indice des ventes de logements en cours avait augmenté de 0,3% le mois dernier, atteignant ainsi son plus haut niveau depuis avril 2010, mais était resté en deçà des 1,1% envisagés.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,06% pour glisser à 0,8558.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre révisé du moral des consommateurs mesuré par l'université du Michigan, ainsi que le volume des revenus personnels et celui des dépenses individuelles, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago.