Investing.com - L'euro a laissé le dollar U.S. prendre l'avantage ce mercredi matin, les piètres résultats du secteur secondaire chinois ayant ranimé le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3191 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3193, perdant 0,23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3133, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,3237, son plafond mensuel établi hier.
La première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière de la Chine établie par HSBC a en effet plongé depuis 48,2 vers 47,7 pour juillet, son niveau le plus bas en 11 mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Le billet vert a retrouvé des couleurs après que les médiocres performances émanant des Etats-Unis aient étouffé les rumeurs de resserrage les boulons de la part de la Réserve Fédérale.
Son président a ainsi affirmé que l'ampleur de son programme de rachats d'actifs pourrait être réduite en cas de bonnes performances économiques, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
La monnaie unique a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,08% pour glisser à 0,8594, et mais a par contre repris du pil de la bête contre le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,23% pour se hisser à 131,80.
La zone euro comptait quand à elle divulguer aujourd'hui quand à elle ses informations préliminaires concernant l'activité des industries et des prestataires de services, et les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le nombre des ventes de logements neufs.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3191 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3193, perdant 0,23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3133, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,3237, son plafond mensuel établi hier.
La première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière de la Chine établie par HSBC a en effet plongé depuis 48,2 vers 47,7 pour juillet, son niveau le plus bas en 11 mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
Le billet vert a retrouvé des couleurs après que les médiocres performances émanant des Etats-Unis aient étouffé les rumeurs de resserrage les boulons de la part de la Réserve Fédérale.
Son président a ainsi affirmé que l'ampleur de son programme de rachats d'actifs pourrait être réduite en cas de bonnes performances économiques, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
La monnaie unique a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,08% pour glisser à 0,8594, et mais a par contre repris du pil de la bête contre le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,23% pour se hisser à 131,80.
La zone euro comptait quand à elle divulguer aujourd'hui quand à elle ses informations préliminaires concernant l'activité des industries et des prestataires de services, et les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le nombre des ventes de logements neufs.