Investing.com - Les options sur l'or étaient en légère hausse avec les échanges turbulents de vendredi, compensant une partie des pertes hebdomadaires après que les deux jours du sommet de l'Union Européenne se soient conclus sur l'accord concernant la mise en place de contrôles fiscaux plus sévères dans le bloc euro.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 715.15 USD à la clôture des échanges de fin de semaine, cédant tout de même 2.05% au cours de celle-ci.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 706.05, leur plancher du 6 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1 760.35, leur plafond du 8.
Les deux jours de sommet des 27 chefs des états membres ont également amené un renforcement du filet de sécurité des pays surendettés en fournissant 200 milliards d'euros de fonds us Fonds Monétaire International, repoussant cependant la décision d'augmenter la capacité du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen à mars.
Les observateurs demeuraient toutefois sur les dents en raison de l'absence d'unanimité concernant un nouveau traité fiscal pour l'UE, David Cameron, premier ministre du Royaume-Uni, ayant posé son veto à tout changement, poussant les nouvelles règles à n'être que des accords intergouvernementaux mais aussi de la remise de la décision concernant l'augentation de la capacité du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen à mars.
Le prédisent français Nicolas Sarkozy a déclaré ce jour-là lors d'une conférence de presse: "Nous faisons tout ce que nous pouvonos pour sauver l'euro."
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci renforçant son attrait en tant que valeur refuge.
Il s'est toutefois mis à suivre les valeurs les plus audacieuses, comme les actions et les autres matières premières au cours des dernières semaines, les acteurs des marchés estimant qu'il apporte des revenus sûrs sur fond d'agitation financière et d'incertitudes économiques.
HSBC Holdings, plus grosse banque d'Europe, a déclaré dans un article publié vendredi: "Il semblerait que les cours de l'or soient davantage influencés par les transactions liées au risque que par celles concernant les devises ou les valeurs refuge."
Elle y a ajouté qu'elle s'attendait à ce que les prix "demeurent sur la défensive" à court terme, invoquant les preuves d'un "assèchement des liquidités" s'accumulant sur les marchés financiers, les investisseurs "liquidant leurs portefeuilles afin d'assurer leurs bénéfices avant la fin de l'année", réduisant ainsi le volue des capitaux disponibles et encourageant la volatilité du même coup.
La légère remontée de vendredi n'a pas suffi à contrer la plongée de 2% subie jeudi, l'atmosphère ayant été assombrie après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait douché l'attente d'un gonflement du programme d'achats d'obligations par cette dernière une fois qu'une solution politique à la crise de la dette aurait été dégagée.
Elle a par ailleurs rabaissé son taux d'intérêt directeur de 0.25 points, pour le ramener à 1%, son plus bas niveau historique.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs sombré de 1.22% pour dégringoler à 32.25 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont cédé 0.35% pour se retrouver à 3.572 USD la livre dans le même temps.
Une étude officielle dévoilée vendredi avait montré que l'indice des prix à la consommation chinois avait connu une augmentation de 4.2% en novembre, la plus faible en 14 mois, retombant nettement des 5.5% du mois précédent, attisant les rumeurs selon lesquelles Pékin introduirait prochainement de nouveaux assouplissements monétaires afin de stimuler la croissance de la seconde économie mondiale.
Les investisseurs surveilleront de près les coûts des emprunts des pays de la zone euro en difficulté la semaine prochaine, leur hausse pouvant entraîner une baisse de leur notation monétaire par l'agence Standard & Poor's, qui a menacé de procéder à une dégradation collective des membrse de la zone euro, notamment l'Allemagne, la France, l'Italie et l'Espagne.
Ces deux dernières devraient procéder à des mises aux enchères de dettes au cours de la semaine à venir.
Les observateurs garderont aussi un oeil sur la réunion d'orientation politique de la Réserve Fédérale de mardi, en raison de l'angoisse persistante d'un impact de la crise de la dette souveraine de la zone euro sur la relance mondiale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 715.15 USD à la clôture des échanges de fin de semaine, cédant tout de même 2.05% au cours de celle-ci.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 706.05, leur plancher du 6 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1 760.35, leur plafond du 8.
Les deux jours de sommet des 27 chefs des états membres ont également amené un renforcement du filet de sécurité des pays surendettés en fournissant 200 milliards d'euros de fonds us Fonds Monétaire International, repoussant cependant la décision d'augmenter la capacité du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen à mars.
Les observateurs demeuraient toutefois sur les dents en raison de l'absence d'unanimité concernant un nouveau traité fiscal pour l'UE, David Cameron, premier ministre du Royaume-Uni, ayant posé son veto à tout changement, poussant les nouvelles règles à n'être que des accords intergouvernementaux mais aussi de la remise de la décision concernant l'augentation de la capacité du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen à mars.
Le prédisent français Nicolas Sarkozy a déclaré ce jour-là lors d'une conférence de presse: "Nous faisons tout ce que nous pouvonos pour sauver l'euro."
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci renforçant son attrait en tant que valeur refuge.
Il s'est toutefois mis à suivre les valeurs les plus audacieuses, comme les actions et les autres matières premières au cours des dernières semaines, les acteurs des marchés estimant qu'il apporte des revenus sûrs sur fond d'agitation financière et d'incertitudes économiques.
HSBC Holdings, plus grosse banque d'Europe, a déclaré dans un article publié vendredi: "Il semblerait que les cours de l'or soient davantage influencés par les transactions liées au risque que par celles concernant les devises ou les valeurs refuge."
Elle y a ajouté qu'elle s'attendait à ce que les prix "demeurent sur la défensive" à court terme, invoquant les preuves d'un "assèchement des liquidités" s'accumulant sur les marchés financiers, les investisseurs "liquidant leurs portefeuilles afin d'assurer leurs bénéfices avant la fin de l'année", réduisant ainsi le volue des capitaux disponibles et encourageant la volatilité du même coup.
La légère remontée de vendredi n'a pas suffi à contrer la plongée de 2% subie jeudi, l'atmosphère ayant été assombrie après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait douché l'attente d'un gonflement du programme d'achats d'obligations par cette dernière une fois qu'une solution politique à la crise de la dette aurait été dégagée.
Elle a par ailleurs rabaissé son taux d'intérêt directeur de 0.25 points, pour le ramener à 1%, son plus bas niveau historique.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs sombré de 1.22% pour dégringoler à 32.25 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont cédé 0.35% pour se retrouver à 3.572 USD la livre dans le même temps.
Une étude officielle dévoilée vendredi avait montré que l'indice des prix à la consommation chinois avait connu une augmentation de 4.2% en novembre, la plus faible en 14 mois, retombant nettement des 5.5% du mois précédent, attisant les rumeurs selon lesquelles Pékin introduirait prochainement de nouveaux assouplissements monétaires afin de stimuler la croissance de la seconde économie mondiale.
Les investisseurs surveilleront de près les coûts des emprunts des pays de la zone euro en difficulté la semaine prochaine, leur hausse pouvant entraîner une baisse de leur notation monétaire par l'agence Standard & Poor's, qui a menacé de procéder à une dégradation collective des membrse de la zone euro, notamment l'Allemagne, la France, l'Italie et l'Espagne.
Ces deux dernières devraient procéder à des mises aux enchères de dettes au cours de la semaine à venir.
Les observateurs garderont aussi un oeil sur la réunion d'orientation politique de la Réserve Fédérale de mardi, en raison de l'angoisse persistante d'un impact de la crise de la dette souveraine de la zone euro sur la relance mondiale.