Investing.com - Le dollar U.S. était encore plus en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, se dégradant de plus de 1% par rapport à son homologue du Royaume-Uni, dont l'économie semble avoir échappé à une récession à triple tranchant en retrouvant le chemin de la croissance.
En fin de première partie de séance européenne, il a donc fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD bondissant de 1,12% pour se hisser à 1,5433.
Le bureau britannique des statistiques a en effet assuré que le produit intérieur brut national avait augmenté de 0,3% entre début janvier et fin mars après ajustement saisonnier, dépassant ainsi les 0,1% espérés, grignotant 0,6% d'une année sur l'autre.
George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du pays, a salué ces informations, estimant qu'elles constituaient "un signe encourageant d'amélioration de l'économie".
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,40% pour grimper à 1,3066, un nouveau pic journalier.
Mais la monnaie unique était aussi fragilisée par les mauvais résultats allemands du début de semaine, alimentant les inquiétudes au sujet de la première économie du bloc et donc les rumeurs de rabaissement de ses taux.
Une étude officielle a aussi montré ce matin que le taux de chômage de l'Espagne avait grimpé jusqu'à 27,16% pour le premier trimestre, avec plus de six millions de demandeurs d'emploi.
Il a également cédé davantage de terrain au yen, l'USD/JPY dérapant de 0,41% pour glisser à 99,08, s'éloignant de la barre psychologique des 100 alors que les yeux se tournaient vers la réunion que la Banque du Japon tiendra demain.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0,31% pour tomber à 0,9438.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,36% pour monter à 1,0318, le NZD/USD engrangeant 0,79% pour culminer à 0,8541 et l'USD/CAD régressant de 0,24% pour aller vers 1,0229.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,49% pour se situer à 82,64.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de première partie de séance européenne, il a donc fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD bondissant de 1,12% pour se hisser à 1,5433.
Le bureau britannique des statistiques a en effet assuré que le produit intérieur brut national avait augmenté de 0,3% entre début janvier et fin mars après ajustement saisonnier, dépassant ainsi les 0,1% espérés, grignotant 0,6% d'une année sur l'autre.
George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du pays, a salué ces informations, estimant qu'elles constituaient "un signe encourageant d'amélioration de l'économie".
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,40% pour grimper à 1,3066, un nouveau pic journalier.
Mais la monnaie unique était aussi fragilisée par les mauvais résultats allemands du début de semaine, alimentant les inquiétudes au sujet de la première économie du bloc et donc les rumeurs de rabaissement de ses taux.
Une étude officielle a aussi montré ce matin que le taux de chômage de l'Espagne avait grimpé jusqu'à 27,16% pour le premier trimestre, avec plus de six millions de demandeurs d'emploi.
Il a également cédé davantage de terrain au yen, l'USD/JPY dérapant de 0,41% pour glisser à 99,08, s'éloignant de la barre psychologique des 100 alors que les yeux se tournaient vers la réunion que la Banque du Japon tiendra demain.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0,31% pour tomber à 0,9438.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,36% pour monter à 1,0318, le NZD/USD engrangeant 0,79% pour culminer à 0,8541 et l'USD/CAD régressant de 0,24% pour aller vers 1,0229.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,49% pour se situer à 82,64.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.