Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture à la hausse ce mardi, l'humeur des investisseurs atant été ragaillardie par le succès des ventes de dettes italiennes et l'espoir de progrès dans la résolution de la crise de la dette de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.48%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.61% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3%.
L'Italie a en effet écoulé pour 7.5 milliards d'euros de dettes, alors que les coûts des emprunts avaient bondi vers des sommets jamais vus depuis l'introduction de l'euro, culminant à 7.89% pour les bons à trois ans, et 7.56% pour ceux à dix ans, contre 6.06% lors d'une mise aux enchères siminaire tenue le mois dernier.
La monnaie unique a cependant retrouvé des partisans, après que les dividendes italiens soient retombés des pics ayant précédé cette vente, celui à deux ans repassant sous la barre cruciale des 7%.
Les ministres de finances de la zone euro devaient pour leur part se rencontrer dans l'après-midi afin de se mettre d'accord sur les détails de l'augmentation de la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours régional, ainsi que sur l'attribution probable de la prochaine tranche d'aides financières à la Grèce.
Amazon s'est par exemple envolé de 6.44% après avoir annoncé hier une flambée de ventes de sa liseuse Kindle au cours de la journée d'achats du "vendredi noir" suivant traditionnellement la fête de thanksgiving.
Le fournisseur d'accès internet AOL a pour sa part engrangé 1.55% suite aux propos de son directeur général Tim Armstrong, s'engageant à garder l'entreprise indépendante et assurant ne pas loucher vers les actions Yahoo, bien que ce rival d'importance cherche la consolidation, et progresse de 1.66% dans le même mouvement.
La finance se trouvait également en large forme, Citigroup se plaçant en locomotive avec 6.01%, JP Morgan avec 2.39%, Goldman Sachs avec 2.29% et la Bank of America avec 1.55%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, AMR Corp, compagnie-mère d'American Airlines, a régressé de 0.49% après s'être mise en faillite suite à l'échec des négociations visant à une réduction de ses coûts de main-d'oeuvre et à une série de fusions, le premier transporteur aérien se trouvant par voie de conséquence rétrogradé à l'état de troisième des Etats-Unis.
Les bourses européennes étaient quand à elles positives, l'EURO STOXX 50 avançant de 0.28%, le CAC 40 français de 0.36%, le DAX 30 allemand de 0.29% et le FTSE 100 britannique de 0.04%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 1.3%, et le Nikkei 225 japonais de 2.3%.
Les spécialistes des l'immobilier des Etats-Unis devraient dévoiler dans l'après-midi l'inflation des prix des logements, et le pays fera de même avec une étude sur la confiance des consommateurs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.48%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.61% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3%.
L'Italie a en effet écoulé pour 7.5 milliards d'euros de dettes, alors que les coûts des emprunts avaient bondi vers des sommets jamais vus depuis l'introduction de l'euro, culminant à 7.89% pour les bons à trois ans, et 7.56% pour ceux à dix ans, contre 6.06% lors d'une mise aux enchères siminaire tenue le mois dernier.
La monnaie unique a cependant retrouvé des partisans, après que les dividendes italiens soient retombés des pics ayant précédé cette vente, celui à deux ans repassant sous la barre cruciale des 7%.
Les ministres de finances de la zone euro devaient pour leur part se rencontrer dans l'après-midi afin de se mettre d'accord sur les détails de l'augmentation de la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours régional, ainsi que sur l'attribution probable de la prochaine tranche d'aides financières à la Grèce.
Amazon s'est par exemple envolé de 6.44% après avoir annoncé hier une flambée de ventes de sa liseuse Kindle au cours de la journée d'achats du "vendredi noir" suivant traditionnellement la fête de thanksgiving.
Le fournisseur d'accès internet AOL a pour sa part engrangé 1.55% suite aux propos de son directeur général Tim Armstrong, s'engageant à garder l'entreprise indépendante et assurant ne pas loucher vers les actions Yahoo, bien que ce rival d'importance cherche la consolidation, et progresse de 1.66% dans le même mouvement.
La finance se trouvait également en large forme, Citigroup se plaçant en locomotive avec 6.01%, JP Morgan avec 2.39%, Goldman Sachs avec 2.29% et la Bank of America avec 1.55%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, AMR Corp, compagnie-mère d'American Airlines, a régressé de 0.49% après s'être mise en faillite suite à l'échec des négociations visant à une réduction de ses coûts de main-d'oeuvre et à une série de fusions, le premier transporteur aérien se trouvant par voie de conséquence rétrogradé à l'état de troisième des Etats-Unis.
Les bourses européennes étaient quand à elles positives, l'EURO STOXX 50 avançant de 0.28%, le CAC 40 français de 0.36%, le DAX 30 allemand de 0.29% et le FTSE 100 britannique de 0.04%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 1.3%, et le Nikkei 225 japonais de 2.3%.
Les spécialistes des l'immobilier des Etats-Unis devraient dévoiler dans l'après-midi l'inflation des prix des logements, et le pays fera de même avec une étude sur la confiance des consommateurs.