Investing.com - L'euro était largement en position de faiblesse face à la plupart de ses concurrents ce lundi, tiré vers le bas par les incertitudes financières et économiques touchant l'Espagne, les inconnues posées par les elections espagnoles et grecques de fin de semaine contribuant aussi à la frilosité ambiante.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.28% pour tomber à 1.3215.
Les angoisses causées par l'Espagne se sont ravivées après que des chiffres officiels aient montré que le produit intérieur brut espagnol avait diminué de 0.3% au premier trimestre, et de 0.4% d'unee année sur l'autre.
Les opérateurs n'ont guère donné de signes de soulagement, alors que les estimations divulguées la semaine passée par la Banque d'Espagne avaient été légèrement pires, avançant 0.4% de rétraction sur le premier quart de l'année et 0.5% par rapport à 2011.
Le gouvernement du pays avaient déjà fait savoir vendredi que le taux de chômage s'était élevé vers un nouveau record à 24.4% sur la même période.
Il avait d'autre part été signalé ce matin que l'agence Standard & Poor's avait dégradé de nombreuses notations dans le secteur bancaire national en difficulté, après avoir déjà rabaissé de deux crans son appréciation du pays la semaine dernière.
Les autorités de la zone euro ont pour leur part souligne ce matin que les prix de vente au détail avaient augmenté de 2.6% ajustés saisonnièrement, comme précédemment, alors que 2.5% étaient anticipés, étouffant l'idée d'assouplissements de la part de la Banque Centrale Européenne.
Le billet vert demeurait quand à lui sur la sellette après que les résultats inférieurs aux espérances pour les trois premiers mois de l'année dévoilés la semaine passée aient conforté l'hypothèse d'une troisième série d'injections de capitaux de la part de la Réserve Fédérale.
La monnaie unique s'est d'autre part maintenue aux alentours d'un creux des 22 derniers mois face à une livre sterling largement renforcée, l'EUR/GBP ployant de 0.22% pour glisser à 0.813.
Cette dernière demeurait populaire, les investisseurs y voyant toujours une alternative plus sûre à la devise européenne et à l'étalon américain, malgré le fait que l'économie britannique soit elle aussi retombée en récession en début d'année.
Il en a été de même par rapport au yen, mais le franc suisse a subi une résistance accrue, l'EUR/JPY plongeant de 0.38% pour sombrer à 105.96 et l'EUR/CHF grignotant 0.02% pour se hisser à 1.2016.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise se sont laissées dominer, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD gagnant 0.18% pour grimper à 1.268, l'EUR/CAD laissant échapper 0.1% pour descendre à 1.2981 et l'EUR/NZD arrachant 0.02% pour s'élever à 1.6125.
Le gouvernement de la Nouvelle-Zélande avait fait savoir en début de matinée que l'excédent du commerce extérieur national avait diminué en mars sans crier gare, passant ainsi de 161 à 134 millions de NZD.
Une autre étude de même provenance signalait quand à elle que le nombre des permis de construire avait augmenté de 19.8% sur la même période, après avoir plongé de 6.7% auparavant.
Le gouvernement des Etats-Unis compte quand à lui dévoiler dans l'après-midi une série de résultats, concernant notamment les dépenses de consommation de base, l'augmentation des prix et les dépenses individuelles, mais aussi l'importance de l'activité des entreprises de la région de Chicago.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissait devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.28% pour tomber à 1.3215.
Les angoisses causées par l'Espagne se sont ravivées après que des chiffres officiels aient montré que le produit intérieur brut espagnol avait diminué de 0.3% au premier trimestre, et de 0.4% d'unee année sur l'autre.
Les opérateurs n'ont guère donné de signes de soulagement, alors que les estimations divulguées la semaine passée par la Banque d'Espagne avaient été légèrement pires, avançant 0.4% de rétraction sur le premier quart de l'année et 0.5% par rapport à 2011.
Le gouvernement du pays avaient déjà fait savoir vendredi que le taux de chômage s'était élevé vers un nouveau record à 24.4% sur la même période.
Il avait d'autre part été signalé ce matin que l'agence Standard & Poor's avait dégradé de nombreuses notations dans le secteur bancaire national en difficulté, après avoir déjà rabaissé de deux crans son appréciation du pays la semaine dernière.
Les autorités de la zone euro ont pour leur part souligne ce matin que les prix de vente au détail avaient augmenté de 2.6% ajustés saisonnièrement, comme précédemment, alors que 2.5% étaient anticipés, étouffant l'idée d'assouplissements de la part de la Banque Centrale Européenne.
Le billet vert demeurait quand à lui sur la sellette après que les résultats inférieurs aux espérances pour les trois premiers mois de l'année dévoilés la semaine passée aient conforté l'hypothèse d'une troisième série d'injections de capitaux de la part de la Réserve Fédérale.
La monnaie unique s'est d'autre part maintenue aux alentours d'un creux des 22 derniers mois face à une livre sterling largement renforcée, l'EUR/GBP ployant de 0.22% pour glisser à 0.813.
Cette dernière demeurait populaire, les investisseurs y voyant toujours une alternative plus sûre à la devise européenne et à l'étalon américain, malgré le fait que l'économie britannique soit elle aussi retombée en récession en début d'année.
Il en a été de même par rapport au yen, mais le franc suisse a subi une résistance accrue, l'EUR/JPY plongeant de 0.38% pour sombrer à 105.96 et l'EUR/CHF grignotant 0.02% pour se hisser à 1.2016.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise se sont laissées dominer, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD gagnant 0.18% pour grimper à 1.268, l'EUR/CAD laissant échapper 0.1% pour descendre à 1.2981 et l'EUR/NZD arrachant 0.02% pour s'élever à 1.6125.
Le gouvernement de la Nouvelle-Zélande avait fait savoir en début de matinée que l'excédent du commerce extérieur national avait diminué en mars sans crier gare, passant ainsi de 161 à 134 millions de NZD.
Une autre étude de même provenance signalait quand à elle que le nombre des permis de construire avait augmenté de 19.8% sur la même période, après avoir plongé de 6.7% auparavant.
Le gouvernement des Etats-Unis compte quand à lui dévoiler dans l'après-midi une série de résultats, concernant notamment les dépenses de consommation de base, l'augmentation des prix et les dépenses individuelles, mais aussi l'importance de l'activité des entreprises de la région de Chicago.