Investing.com - Le dollar U.S. a dû abandonner ses gains de la matinée enregistrés face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, se retrouvant sur la sellette suite à la dissipation de l'angoisse concernant la crise de la dette souveraine de la zone euro par les propos de Jose Manuel Barroso, président de la commission européenne.
En seconde partie de séance européenne, il a en effet fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.4% pour tomber à 1.3733.
M. Barroso, a en effet déclaré qu'il présenterait bientôt les grandes options d'un plan de mise en place de bons européens, mais a toutefois averti que cette mesure seule ne suffirait pas à mettre fin au problème du surendettement régional et rappelé que l'Allemagne s'y opposait fortement.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.06% pour se hisser à 1.5789.
Une étude avait auparavant indiqué que le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage au Royaume-Uni avait moins augmenté qu'il n'avait été craint, mais la devise du Royaume-Uni est toutefois restée sous pression, l'étude ayant montré que l'indice ILO du contingent des sans-emploi avait connu sa plus forte hausse en deux ans, alors que l'emploi public s'effondrait nettement.
Il a également subi la pression du yen, et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.04% pour reprendre pied à 76.91 et l'USD/CHF dérapant de 0.46% pour toucher le fond à 0.8761.
Des informations émanant du gouvernement helvétique avaient précédemment indiqué que les prix à la production et à l'import du pays avaient connu en août leur plus forte chute en 33 mois, profitant du renforcement du franc et de la baisse des prix du pétrole.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement moins dominé ses cousines canadienne et australienne, et plus la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.3% pour monter à 0.9886, l'AUD/USD cédant 0.59% pour se retrouver à 1.0249 et le NZD/USD arrachant 0.07% pour toucher le fond à 0.8234.
Le net déclin australien faisait suite à une révision à la baisse des chiffres de l'inflation du second trimestre, le bureau australien des statistiques révélant que l'inflation de base s'était située à 0.6% entre le premier et le second, au lieu des 0.9% avancés fin juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a laissé échapper 0.16% pour se situer à 77.46.
Les Etats-Unis devaient faire connaître dans l'après-midi leur inflation des prix à la production et le volume de leurs ventes au détail mesurés par leurs autorités.
En seconde partie de séance européenne, il a en effet fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.4% pour tomber à 1.3733.
M. Barroso, a en effet déclaré qu'il présenterait bientôt les grandes options d'un plan de mise en place de bons européens, mais a toutefois averti que cette mesure seule ne suffirait pas à mettre fin au problème du surendettement régional et rappelé que l'Allemagne s'y opposait fortement.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.06% pour se hisser à 1.5789.
Une étude avait auparavant indiqué que le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage au Royaume-Uni avait moins augmenté qu'il n'avait été craint, mais la devise du Royaume-Uni est toutefois restée sous pression, l'étude ayant montré que l'indice ILO du contingent des sans-emploi avait connu sa plus forte hausse en deux ans, alors que l'emploi public s'effondrait nettement.
Il a également subi la pression du yen, et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.04% pour reprendre pied à 76.91 et l'USD/CHF dérapant de 0.46% pour toucher le fond à 0.8761.
Des informations émanant du gouvernement helvétique avaient précédemment indiqué que les prix à la production et à l'import du pays avaient connu en août leur plus forte chute en 33 mois, profitant du renforcement du franc et de la baisse des prix du pétrole.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement moins dominé ses cousines canadienne et australienne, et plus la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.3% pour monter à 0.9886, l'AUD/USD cédant 0.59% pour se retrouver à 1.0249 et le NZD/USD arrachant 0.07% pour toucher le fond à 0.8234.
Le net déclin australien faisait suite à une révision à la baisse des chiffres de l'inflation du second trimestre, le bureau australien des statistiques révélant que l'inflation de base s'était située à 0.6% entre le premier et le second, au lieu des 0.9% avancés fin juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a laissé échapper 0.16% pour se situer à 77.46.
Les Etats-Unis devaient faire connaître dans l'après-midi leur inflation des prix à la production et le volume de leurs ventes au détail mesurés par leurs autorités.