Investing.com - Le dollar U.S. a quitté ce jeudi après-midi les piédestaux journaliers établis face à la plupart de ses concurrents, après que le regain du chômage là où il a cours ait déclenché des prises de bénéfices découlant de sa poussée du début de journée.
En seconde partie de séance européenne, l'euro s'est extirpé d'une ornière hebdomadaire devant lui, l'EUR/USD perdant 0,12% pour tomber à 1,3339, apeès avoir atteint 1,3298.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 13.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 17 août, pour un total hebdomadaire de 336.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 7.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
Mais le billet vert gardait des partisans après que le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par son émettrice ait montré des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Son homologue européen avait établi un pic à la mi-journée, après que les industries de la région l'ayant adoptée aient réalisé leurs progression la plus marquée en 26 mois.
Le groupe de recherches économiques Markit a ainsi annoncé en milieu de journée que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc euro était passé des 50,3 définitifs de juillet à 51,3, au lieu des 50,8 anticipés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 49,8 à 51,0, sa valeur la plus élevée en 24 mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 50,2 semblait probable.
Le yen a aussi moins nettement souffert, l'USD/JPY grimpant de 0,82% pour se hisser à 98,81, après avoir caracolé à son plus haut niveau en trois semaines.
Sa valeur refuge traditionnelle a vu s'accentuer sa dégringolade après les statistiques venues d'Europe aient renforcé les perspectives de relance.
Son adversaire a également gagné un terrain plus modeste sur la livre sterling et le franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,44% pour chuter à 1,5591, et l'USD/CHF grignotant 0,33% pour culminer à 0,9254.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD empochant 0,43% pour se retrouver à 0,9008, le NZD/USD se laissant arracher 0,28% pour toucher le fond à 0,7826 et l'USD/CAD prenant 0,"à% pour monter à 1,0502.
Cette dernière, fortement dépendante de la croissance, émergeait après que les chiffres industriels provenant de la seconde économie mondiale aient dissipé à l'aube le spectre d'un essoufflement de son essor.
Il avait ainsi été annoncé que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
Une étude a cependant suligné que les ventes au détail canadiennes avaient fondu sans crier gare de 0,6% en juin, celles de base faisant encore pire avec 0,8%, au lieu du sursaut de 0,1% pressenti.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,26% pour se situer à 81,57.
En seconde partie de séance européenne, l'euro s'est extirpé d'une ornière hebdomadaire devant lui, l'EUR/USD perdant 0,12% pour tomber à 1,3339, apeès avoir atteint 1,3298.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 13.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 17 août, pour un total hebdomadaire de 336.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 7.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
Mais le billet vert gardait des partisans après que le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par son émettrice ait montré des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Son homologue européen avait établi un pic à la mi-journée, après que les industries de la région l'ayant adoptée aient réalisé leurs progression la plus marquée en 26 mois.
Le groupe de recherches économiques Markit a ainsi annoncé en milieu de journée que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc euro était passé des 50,3 définitifs de juillet à 51,3, au lieu des 50,8 anticipés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 49,8 à 51,0, sa valeur la plus élevée en 24 mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 50,2 semblait probable.
Le yen a aussi moins nettement souffert, l'USD/JPY grimpant de 0,82% pour se hisser à 98,81, après avoir caracolé à son plus haut niveau en trois semaines.
Sa valeur refuge traditionnelle a vu s'accentuer sa dégringolade après les statistiques venues d'Europe aient renforcé les perspectives de relance.
Son adversaire a également gagné un terrain plus modeste sur la livre sterling et le franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,44% pour chuter à 1,5591, et l'USD/CHF grignotant 0,33% pour culminer à 0,9254.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD empochant 0,43% pour se retrouver à 0,9008, le NZD/USD se laissant arracher 0,28% pour toucher le fond à 0,7826 et l'USD/CAD prenant 0,"à% pour monter à 1,0502.
Cette dernière, fortement dépendante de la croissance, émergeait après que les chiffres industriels provenant de la seconde économie mondiale aient dissipé à l'aube le spectre d'un essoufflement de son essor.
Il avait ainsi été annoncé que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
Une étude a cependant suligné que les ventes au détail canadiennes avaient fondu sans crier gare de 0,6% en juin, celles de base faisant encore pire avec 0,8%, au lieu du sursaut de 0,1% pressenti.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,26% pour se situer à 81,57.