Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, le goût pour le risque faisant son retour après la déception de la réunion franco-allemande d'hier.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.6% pour monter à 1.4494.
La monnaie unique s'est retrouvée des alliés avec l'amplification des bruits affirmant que la BCE faisait l'acquisition de dettes souveraines de l'Italie et de l'Espagne afin de soulager la pression pesant sur les troisième et quatrième économies du bloc.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.37% pour grimper à 1.6518.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni avait pourtant montré ce matin que le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage avait connu en juillet une hausse de 37 100 inscrits, soit nettement plus que les 20 000 déjà craints.
Le compte-rendu de la réunion d'août de la Banque d'Angleterre avait d'autre part indiqué que un vote à l'unanimité en faveur du maintien des taux d'intérêt à leur plancher historique de 0.5%.
Il a également subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.42% pour descendre à 76.48 et l'USD/CHF s'effondrant de 1.36% pour sombrer à 0.7851.
La banque centrale helvète avait auparavant dévoilé en quoi consisterait son programme d'affaiblissement de sa devise, sans aller toutefois jusqu'à la lier avec l'euro ou intervenir directement sur le marché des changes, malgré les rumeurs à ce sujet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise sensibles au goût pour le risque, l'USD/CAD glissant de 0.44% pour descendre à 0.978, l'AUD/USD engrangeant 0.92% pour se retrouver à 1.0581 et le NZD/USD progressant de 0.32% pour culminer à 0.8389.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.63% pour tomber à 73.56, son plus bas niveau depuis le 5 mai.
Les autorités des Etats-Unis devaient quand à elles faire connaître en cours d'après-midi leur inflation des prix à la production, ainsi que le volume des réserves de pétrole brut.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.6% pour monter à 1.4494.
La monnaie unique s'est retrouvée des alliés avec l'amplification des bruits affirmant que la BCE faisait l'acquisition de dettes souveraines de l'Italie et de l'Espagne afin de soulager la pression pesant sur les troisième et quatrième économies du bloc.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.37% pour grimper à 1.6518.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni avait pourtant montré ce matin que le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage avait connu en juillet une hausse de 37 100 inscrits, soit nettement plus que les 20 000 déjà craints.
Le compte-rendu de la réunion d'août de la Banque d'Angleterre avait d'autre part indiqué que un vote à l'unanimité en faveur du maintien des taux d'intérêt à leur plancher historique de 0.5%.
Il a également subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.42% pour descendre à 76.48 et l'USD/CHF s'effondrant de 1.36% pour sombrer à 0.7851.
La banque centrale helvète avait auparavant dévoilé en quoi consisterait son programme d'affaiblissement de sa devise, sans aller toutefois jusqu'à la lier avec l'euro ou intervenir directement sur le marché des changes, malgré les rumeurs à ce sujet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise sensibles au goût pour le risque, l'USD/CAD glissant de 0.44% pour descendre à 0.978, l'AUD/USD engrangeant 0.92% pour se retrouver à 1.0581 et le NZD/USD progressant de 0.32% pour culminer à 0.8389.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.63% pour tomber à 73.56, son plus bas niveau depuis le 5 mai.
Les autorités des Etats-Unis devaient quand à elles faire connaître en cours d'après-midi leur inflation des prix à la production, ainsi que le volume des réserves de pétrole brut.