Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, les rumeurs d'assouplissement monétaire chinois encourageant les valeurs risquées, alors que les investisseurs demeuraient nerveux après que l'agence Fitch ait signalé une dégradation possible pour l'Italie.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.44% pour grimper à 1.2791.
La monnaie unique avait vu sa progression jugulée en début de matinée après que l'agence Fitch ait déclaré que l'Italie pourrait subir une dégradation de deux crans, déclarant que bien que le pays soit actuellement classé A+, il y avait des chances "importantes" que sa notation soit rabaissée d'ici la fin janvier.
L'audace a toutefois repris les rènes après que les médias de la Chine aient rapporté que la banque centrale du pays pourrait assouplir sa politique monétaire d'ici la fin du mois, afin de stimuler la croissance de la seconde économie mondiale.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.2% pour se hisser à 1.5361.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a révélé que le taux de chômage national avait augmenté sans crier gare en décembre depuis 8.3% vers un pic des dix-sept dernières années à 8.4%.
Il était toutefois précisé que la hausse des nouveaux inscrits s'était limitée à 1 200 avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 8 000 sur la période considérée, laissant espérer que la débâcle du marché de l'emploi britannique pourrait être en train de ralentir.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.09% pour se retrouver à 76.75 et l'USD/CHF glissant de 0.44% pour tomber à 0.9452.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a une fois de plus critiqué la flambée de la monnaie nippone, laissant ainsi entendre qu'une intervention destinée à lutter contre la spéculation était immiente, bien qu'il ait précisé que le Japon ne procèderait pas de la même manière que la Suisse.
Un rapport du centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part indiqué que l'indice des attentes économiques suisses était remonté à -50.1 ce mois-ci, contre -72 en décembre, réalisant du même coup son avancée la plus importante depuis avril 2011.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.09% pour aller vers 1.0141, l'AUD/USD arrachant 0.1% pour monter à 1.0384 et le NZD/USD engrangeant 0.36% pour culminer à 0.8031.
Une étude avait auparavant signalé que l'humeur des consommateurs australiens n'avait rebondi que de 2.4% après avoir plongé de 8.3% le mois précédent, ce qui pourrait indiquer que la série de baisses des taux d'intérêt opérée en fin d'année dernière n'a guère améioré les perspectives économiques.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.31% pour se situer à 81.12.
Le gouvernement de la Grèce va quand à lui reprendre dans la journée les négociations avec les détenteurs de ses obligations afin d'évoquer une dévaluation volontaire de celles-ci, les pourparlers ayant été interrompus vendredi en raison de désaccords concernant l'importance des pertes devant être subies par ces derniers lors de l'échange de leurs bons du trésor.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera pour sa part dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.44% pour grimper à 1.2791.
La monnaie unique avait vu sa progression jugulée en début de matinée après que l'agence Fitch ait déclaré que l'Italie pourrait subir une dégradation de deux crans, déclarant que bien que le pays soit actuellement classé A+, il y avait des chances "importantes" que sa notation soit rabaissée d'ici la fin janvier.
L'audace a toutefois repris les rènes après que les médias de la Chine aient rapporté que la banque centrale du pays pourrait assouplir sa politique monétaire d'ici la fin du mois, afin de stimuler la croissance de la seconde économie mondiale.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.2% pour se hisser à 1.5361.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a révélé que le taux de chômage national avait augmenté sans crier gare en décembre depuis 8.3% vers un pic des dix-sept dernières années à 8.4%.
Il était toutefois précisé que la hausse des nouveaux inscrits s'était limitée à 1 200 avec ajustement saisonnier pour le mois, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à la voir se monter à 8 000 sur la période considérée, laissant espérer que la débâcle du marché de l'emploi britannique pourrait être en train de ralentir.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.09% pour se retrouver à 76.75 et l'USD/CHF glissant de 0.44% pour tomber à 0.9452.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a une fois de plus critiqué la flambée de la monnaie nippone, laissant ainsi entendre qu'une intervention destinée à lutter contre la spéculation était immiente, bien qu'il ait précisé que le Japon ne procèderait pas de la même manière que la Suisse.
Un rapport du centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part indiqué que l'indice des attentes économiques suisses était remonté à -50.1 ce mois-ci, contre -72 en décembre, réalisant du même coup son avancée la plus importante depuis avril 2011.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.09% pour aller vers 1.0141, l'AUD/USD arrachant 0.1% pour monter à 1.0384 et le NZD/USD engrangeant 0.36% pour culminer à 0.8031.
Une étude avait auparavant signalé que l'humeur des consommateurs australiens n'avait rebondi que de 2.4% après avoir plongé de 8.3% le mois précédent, ce qui pourrait indiquer que la série de baisses des taux d'intérêt opérée en fin d'année dernière n'a guère améioré les perspectives économiques.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.31% pour se situer à 81.12.
Le gouvernement de la Grèce va quand à lui reprendre dans la journée les négociations avec les détenteurs de ses obligations afin d'évoquer une dévaluation volontaire de celles-ci, les pourparlers ayant été interrompus vendredi en raison de désaccords concernant l'importance des pertes devant être subies par ces derniers lors de l'échange de leurs bons du trésor.
Le gouvernement des Etats-Unis divulguera pour sa part dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.