Investing.com - Le dollar U.S. gardait le sourire face à la plupart de ses concurrents ce lundi, profitant encore des rumeurs sur les orientations de son émettrice, dans l'expectative de nouveaux résultats américains.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a cependant un peu moins fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,27% pour tomber à 1,3031.
Il bénéficiait en effet toujours des bruits annonçant une réduction d'ici la fin de l'année des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale, tandis que le reste des banques centrales garderait une politique monétaire assouplie aussi loin que portent les projections.
Elle a cependant vu son président Ben Bernanke lui faire perdre des plumes la semaine passée, en rappelant que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
Le billet vert a également gagné un terrain moindre sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,27% pour chuter à 1,5066.
Le yen a par contre davantage subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,56% pour se hisser à 99,79, après qu'il ait été montré que l'économie chinoise avait connu une expansion conforme aux attentes au cours du second trimestre, apaisant l'angoisse d'un essoufflement de son essor.
Une étude officielle a ainsi signalé à l'aube que le second produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
Il était d'autre part à noter que les ventes au détail nationales avaient engrangé 13,3% annualisés en juin, un net progrès comparé aux 12,9% précédents, tandis que la production industrielle connaissait un coup de frein de 8,9% dans le même temps, faisant suite aux 9,2% de mai.
Les places boursières nippones demeuraient quand à elles inactives pour cause de jour férié.
Il en allait de même, mais avec moins de force avec le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,35% pour culminer à 0,9494.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine australienne, mais pas par la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD se renforçant de 0,16% pour se retrouver à 0,9063, le NZD/USD se laissant arracher 0,07% pour culminer à 0,7769 et l'USD/CAD prenant 0,22% pour monter à 1,0418.
Les deux premières avaient pourtant établi des pics journaliers peu après l'ouverture grâce aux bonnes nouvelles provenant de la Chine, dont elles dépendent fortement.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,29% pour se situer à 83,34.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier aujourd'hui le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York, et une étude portant sur les stocks des entreprises.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a cependant un peu moins fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,27% pour tomber à 1,3031.
Il bénéficiait en effet toujours des bruits annonçant une réduction d'ici la fin de l'année des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale, tandis que le reste des banques centrales garderait une politique monétaire assouplie aussi loin que portent les projections.
Elle a cependant vu son président Ben Bernanke lui faire perdre des plumes la semaine passée, en rappelant que l'économie américaine nécessitait le maintien des aides en place.
Le billet vert a également gagné un terrain moindre sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,27% pour chuter à 1,5066.
Le yen a par contre davantage subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,56% pour se hisser à 99,79, après qu'il ait été montré que l'économie chinoise avait connu une expansion conforme aux attentes au cours du second trimestre, apaisant l'angoisse d'un essoufflement de son essor.
Une étude officielle a ainsi signalé à l'aube que le second produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
Il était d'autre part à noter que les ventes au détail nationales avaient engrangé 13,3% annualisés en juin, un net progrès comparé aux 12,9% précédents, tandis que la production industrielle connaissait un coup de frein de 8,9% dans le même temps, faisant suite aux 9,2% de mai.
Les places boursières nippones demeuraient quand à elles inactives pour cause de jour férié.
Il en allait de même, mais avec moins de force avec le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,35% pour culminer à 0,9494.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine australienne, mais pas par la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD se renforçant de 0,16% pour se retrouver à 0,9063, le NZD/USD se laissant arracher 0,07% pour culminer à 0,7769 et l'USD/CAD prenant 0,22% pour monter à 1,0418.
Les deux premières avaient pourtant établi des pics journaliers peu après l'ouverture grâce aux bonnes nouvelles provenant de la Chine, dont elles dépendent fortement.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,29% pour se situer à 83,34.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier aujourd'hui le volume de leurs ventes au détail, ainsi qu'avec l'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York, et une étude portant sur les stocks des entreprises.