Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, dans l'expectative des résultats commerciaux des Etats-Unis, qui pourraient confirmer que la relance s'ancrait là où il a cours.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,87% pour se hisser à 97,74.
Les observateurs guettaient les résultats commerciaux des Etats-Unis, sur fond de rumeurs savamment entretenues sur une éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le billet vert a prolongé son ascension de la veille, après que les médias japonais aient rapporté que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe étudiait la possibilité de réduire les impôts sur les grandes entreprises afin de compenser en partie l'augmentation prévue de la taxe sur la valeur ajoutée.
Des informations officielles ont d'autre part montré à l'aube que les commandes de machines de base nippones avaient plongé de 2,7% en juin, limitant les dégâts par rapport aux 7,2% redoutés.
Il a bien résisté à la pression de l'euro, l'EUR/USD perdant 0,04% pour tomber à 1,3294, mais un peu moins celle de la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,02% pour grimper à 1,5467.
Le centre de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à rendre incessamment une étude sur l'humeur économique allemande.
Le franc suisse a aussi cédé du terrain, l'USD/CHF s'élevant de 0,23% pour s'établir à 0,9278.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,15% pour se retrouver à 0,9133, le NZD/USD se laissant arracher 0,19% pour toucher le fond à 0,7994 et l'USD/CAD prenant 0,16% pour monter à 1,0320.
Il avait auparavant été souligné que l'indice de la confiance dans les affaires établi par la National Australia Bank était passé de zéro à -3 le mois passé.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,21% pour se situer à 81,58.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,87% pour se hisser à 97,74.
Les observateurs guettaient les résultats commerciaux des Etats-Unis, sur fond de rumeurs savamment entretenues sur une éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le billet vert a prolongé son ascension de la veille, après que les médias japonais aient rapporté que le premier ministre sur le retour Shinzo Abe étudiait la possibilité de réduire les impôts sur les grandes entreprises afin de compenser en partie l'augmentation prévue de la taxe sur la valeur ajoutée.
Des informations officielles ont d'autre part montré à l'aube que les commandes de machines de base nippones avaient plongé de 2,7% en juin, limitant les dégâts par rapport aux 7,2% redoutés.
Il a bien résisté à la pression de l'euro, l'EUR/USD perdant 0,04% pour tomber à 1,3294, mais un peu moins celle de la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,02% pour grimper à 1,5467.
Le centre de recherches économiques ZEW s'apprêtait pour sa part à rendre incessamment une étude sur l'humeur économique allemande.
Le franc suisse a aussi cédé du terrain, l'USD/CHF s'élevant de 0,23% pour s'établir à 0,9278.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,15% pour se retrouver à 0,9133, le NZD/USD se laissant arracher 0,19% pour toucher le fond à 0,7994 et l'USD/CAD prenant 0,16% pour monter à 1,0320.
Il avait auparavant été souligné que l'indice de la confiance dans les affaires établi par la National Australia Bank était passé de zéro à -3 le mois passé.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,21% pour se situer à 81,58.