Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, sur fond de rumeurs persistantes d'un tour de vis imminent de la part de son émettrice, tandis que son homologue du vieux continent subissait les statistiques allemandes.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,49% pour se hisser à 99,64, se rapprochant de la barre des 100 au-dessous de laquelle la paire se situe depuis le 11 septembre.
Le billet vert gardait en effet la corde grâce aux rumeurs d'une fermeture des robinets de la banque centrale des Etats-Unis allaient bon train, en raison de l'importance des créations d'emplois américaines.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,21% pour tomber à 1,3376, évitant tout de même de retomber dans son gouffre de sept semaines établi le 7 novembre à 1,3294.
Il a d'autre part été souligné à l'aube que l'inflation annualisée allemande s'était limitée de 1,4% à 1,2% pour le mois passé, son niveau le plus bas en plus de trois ans, suite à la baisse des cours du pétrole.
Les prix de gros avaient d'autre part fondu de 2,7% d'une année sur l'autre, et de 1,0% par rappport au mois précédent.
Les craintes concernant la consommation régionale s'en trouvaient exacerbée, dans le sillage du rabotage inattendu des taux de la Banque Centrale Européenne de jeudi.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,27% pour chuter à 1,5943 et l'USD/CHF grignotant 0,18% pour culminer à 0,9210.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine australienne, l'AUD/USD cédant 0,30% pour se retrouver à 0,9330.
Celle-ci s'est retrouvée sur la sellette après que la National Australia Bank ait vu son baromètre de la confiance dans les entreprises avait quitté pour le mois passé son piédestal de trois ans et demi, sur fond de crainte de perspectives de demande locale morose.
Il en allait de même avec la néo-zélandaise et la canadienne, le NZD/USD se laissant arracher 0,24% pour toucher le fond à 0,8233 et l'USD/CAD prenant 0,22% pour monter à 1,0497.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,28% pour se situer à 81,38.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,49% pour se hisser à 99,64, se rapprochant de la barre des 100 au-dessous de laquelle la paire se situe depuis le 11 septembre.
Le billet vert gardait en effet la corde grâce aux rumeurs d'une fermeture des robinets de la banque centrale des Etats-Unis allaient bon train, en raison de l'importance des créations d'emplois américaines.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,21% pour tomber à 1,3376, évitant tout de même de retomber dans son gouffre de sept semaines établi le 7 novembre à 1,3294.
Il a d'autre part été souligné à l'aube que l'inflation annualisée allemande s'était limitée de 1,4% à 1,2% pour le mois passé, son niveau le plus bas en plus de trois ans, suite à la baisse des cours du pétrole.
Les prix de gros avaient d'autre part fondu de 2,7% d'une année sur l'autre, et de 1,0% par rappport au mois précédent.
Les craintes concernant la consommation régionale s'en trouvaient exacerbée, dans le sillage du rabotage inattendu des taux de la Banque Centrale Européenne de jeudi.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,27% pour chuter à 1,5943 et l'USD/CHF grignotant 0,18% pour culminer à 0,9210.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine australienne, l'AUD/USD cédant 0,30% pour se retrouver à 0,9330.
Celle-ci s'est retrouvée sur la sellette après que la National Australia Bank ait vu son baromètre de la confiance dans les entreprises avait quitté pour le mois passé son piédestal de trois ans et demi, sur fond de crainte de perspectives de demande locale morose.
Il en allait de même avec la néo-zélandaise et la canadienne, le NZD/USD se laissant arracher 0,24% pour toucher le fond à 0,8233 et l'USD/CAD prenant 0,22% pour monter à 1,0497.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,28% pour se situer à 81,38.