Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, alors que l'attente d'une réduction des acquisitions de la Réserve Fédérale continuait à plomber l'atmosphère.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,32% pour grimper à 1,2983, établissant un sommet de deux semaines.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui sera aussi très surveillé, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Il n'en était cependant pas de même avec le yen, l'USD/JPY empochant 0,21% pour se retrouver à 100,47, s'extirpant d'un creux de trois semaines.
La devise du Japon retrouvait du poil de la bête, alors que la chute des actions nippones poussait les investisseurs à redorer son blason en tant que valeur refuge traditionnelle.
Le billet vert a malgré cela cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,18% pour se hisser à 1,5156.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le prêteur immobilier Nationwide ait montré que les coûts des logements britanniques avaient connu en mai avec 1,1% leur plus forte ascension depuis novembre 2011.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,16% pour tomber à 0,9601.
Une étude officielle avait auparavant montré une expansion de 0,6% de l'économie helvète au premier trimestre, dépassant largement les 0,2% espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD raflant 0,21% pour monter à 0,9651, le NZD/USD laissant échapper 0,8% pour toucher le fond à 0,8089 et l'USD/CAD progressant de 0,01% pour aller vers 1,0347.
La première avait retrouvé de la vigueur après que les autorités de l'Australie aient annoncé avoir accordé 9,1% de permis de construire de plus en avril, au lieu des 4% espérés.
Il était toutefois à noter que les investissements privés du pays avaient fondu de 4,7% au cours des trois premiers mois de l'année, alors que 0,8% supplémentaires étaient envisagés.
Graeme Wheeler, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait affirmé hier que celle-ci était prête à écouler de sa devise qu'il estimait surévaluée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,20% pour se situer à 83,49.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,32% pour grimper à 1,2983, établissant un sommet de deux semaines.
Le décompte des nouvelles inscriptions au chômage américaines devant être dévoilé aujourd'hui sera aussi très surveillé, en raison des bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Il n'en était cependant pas de même avec le yen, l'USD/JPY empochant 0,21% pour se retrouver à 100,47, s'extirpant d'un creux de trois semaines.
La devise du Japon retrouvait du poil de la bête, alors que la chute des actions nippones poussait les investisseurs à redorer son blason en tant que valeur refuge traditionnelle.
Le billet vert a malgré cela cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,18% pour se hisser à 1,5156.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des couleurs après que le prêteur immobilier Nationwide ait montré que les coûts des logements britanniques avaient connu en mai avec 1,1% leur plus forte ascension depuis novembre 2011.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,16% pour tomber à 0,9601.
Une étude officielle avait auparavant montré une expansion de 0,6% de l'économie helvète au premier trimestre, dépassant largement les 0,2% espérés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD raflant 0,21% pour monter à 0,9651, le NZD/USD laissant échapper 0,8% pour toucher le fond à 0,8089 et l'USD/CAD progressant de 0,01% pour aller vers 1,0347.
La première avait retrouvé de la vigueur après que les autorités de l'Australie aient annoncé avoir accordé 9,1% de permis de construire de plus en avril, au lieu des 4% espérés.
Il était toutefois à noter que les investissements privés du pays avaient fondu de 4,7% au cours des trois premiers mois de l'année, alors que 0,8% supplémentaires étaient envisagés.
Graeme Wheeler, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait affirmé hier que celle-ci était prête à écouler de sa devise qu'il estimait surévaluée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,20% pour se situer à 83,49.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec leur volume des ventes de logements en cours.