Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents, et notamment son homologue européen, ce mercredi, mais ce recul demeurait limité par la prudence à la veille de la prise de cap de l'émettrice de son adversaire, et l'avant-veille du rapport sur l'emploi d'octobre là où il a lui-même cours.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,23% pour grimper à 1,3506.
Ce dernier a repris du poil de la bête grâce à la forme des marchés boursiers d'Europe, bien que les doutes sur la vigueur de la reprise régionale aient été exacerbés par des performances peu reluisantes.
Il avait en effet été noté en fin de matinée que le baromètre définitif de l'activité dans le domaine tertiaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait subi une érosion depuis 52,2 jusqu'à 51,6 en octobre, celle-ci s'avérant cependant plus limitée que celle devant l'amener aux 50,9 estimés au préalable.
Ses ventes au détail ont d'autre part subi un faux pas de 0,6% en septembre, alors que 0,4% étaient déjà redoutés.
Aucun changement ne semblait au programme pour le prochain conseil de direction de la Banque Centrale Européenne, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre, ayant les coudées franches suite à l'inflation régionale la plus faible en quatre ans constatée la semaine dernière.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY frémissant de 0,06% pour se retrouver à 98,55.
Le billet vert a cependant cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,39% pour se hisser à 1,6105, après avoir établi un plafond hebdomadaire, les bons résultats dépassant les attentes de la part du secteur secondaire du Royaume-Uni confirmant les signes d'un ancrage de la reprise.
Le bureau national des statistiques a ainsi constaté un bond de 1,2% de la production manufacturée britannique, au lieu des 1,1% envisagés pour septembre, et de 0,8% d'un an sur l'autre, au lieu des 0,7% pressentis.
Il a ajouté que celle des industries avait gonflé de 0,9% sur le même mois, soit près du double des 0,5% prévus, et de 2,2% par rapport à celle de 2012.
Le franc suisse a d'autre exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9117.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine néo-zélandaise, le NZD/USD engrangeant 0,46% pour culminer à 0,8401.
Elle avait retrouvé des couleurs après qu'il ait été révélé à l'aube que le nombre des salariés de Nouvelle-Zélande avait augmenté de 1,2% entre début juillet et fin septembre, soit nettement plus du double des 0,5% espérés.
Son taux de chômage s'est d'autre part rétracté sans surprise depuis 6,4 vers 6,2% dans le même temps.
L'australienne et la canadienne n'étaient pas en reste, l'AUD/USD raflant 0,23% pour monter à 0,9529 et l'USD/CAD régressant de 0,11% pour aller vers 1,0441.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,24% pour se situer à 80,60.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,23% pour grimper à 1,3506.
Ce dernier a repris du poil de la bête grâce à la forme des marchés boursiers d'Europe, bien que les doutes sur la vigueur de la reprise régionale aient été exacerbés par des performances peu reluisantes.
Il avait en effet été noté en fin de matinée que le baromètre définitif de l'activité dans le domaine tertiaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait subi une érosion depuis 52,2 jusqu'à 51,6 en octobre, celle-ci s'avérant cependant plus limitée que celle devant l'amener aux 50,9 estimés au préalable.
Ses ventes au détail ont d'autre part subi un faux pas de 0,6% en septembre, alors que 0,4% étaient déjà redoutés.
Aucun changement ne semblait au programme pour le prochain conseil de direction de la Banque Centrale Européenne, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre, ayant les coudées franches suite à l'inflation régionale la plus faible en quatre ans constatée la semaine dernière.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY frémissant de 0,06% pour se retrouver à 98,55.
Le billet vert a cependant cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,39% pour se hisser à 1,6105, après avoir établi un plafond hebdomadaire, les bons résultats dépassant les attentes de la part du secteur secondaire du Royaume-Uni confirmant les signes d'un ancrage de la reprise.
Le bureau national des statistiques a ainsi constaté un bond de 1,2% de la production manufacturée britannique, au lieu des 1,1% envisagés pour septembre, et de 0,8% d'un an sur l'autre, au lieu des 0,7% pressentis.
Il a ajouté que celle des industries avait gonflé de 0,9% sur le même mois, soit près du double des 0,5% prévus, et de 2,2% par rapport à celle de 2012.
Le franc suisse a d'autre exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0,19% pour tomber à 0,9117.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine néo-zélandaise, le NZD/USD engrangeant 0,46% pour culminer à 0,8401.
Elle avait retrouvé des couleurs après qu'il ait été révélé à l'aube que le nombre des salariés de Nouvelle-Zélande avait augmenté de 1,2% entre début juillet et fin septembre, soit nettement plus du double des 0,5% espérés.
Son taux de chômage s'est d'autre part rétracté sans surprise depuis 6,4 vers 6,2% dans le même temps.
L'australienne et la canadienne n'étaient pas en reste, l'AUD/USD raflant 0,23% pour monter à 0,9529 et l'USD/CAD régressant de 0,11% pour aller vers 1,0441.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,24% pour se situer à 80,60.