Investing.com - Le dollar U.S. était plutôt morose face à la plupart de ses concurrents au cours des échanges raréfiés de ce lundi matin, le Moyen-Orient demeurant dans le collimateur, malgré l'apaisement de l'angoisse d'une intervention imminente en Syrie.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,02% pour grimper à 1,3217.
Le présidenta américain Barack Obama a lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
Sur le front de la zone euro, le groupe de recherches économiques Markit a fait savoir que son indicateur de l'activité du secteur secondaire espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.
Celui de l'Italie faisait de même, passant de 50,4 à 51,3, son meilleur niveau depuis juin 2011, faisant lui aussi mieux que les 51,0 avancés.
Le billet vert a cédé du terrain plus substantiel à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,45% pour se hisser à 1,5576.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé du mordant après que Markit y ait également montré une résurgence manufacturière, son baromètre s'envolant depuis les 54,8 revus à la hausse de juillet jusqu'à 57,2, du jamais vu depuis 30 mois.
Les experts n'envisageaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 55,0 pour la période considérée.
Le yen et le franc suisse ont cependant subi sa pression, l'USD/JPY engrangeant 1,24% pour se retrouver à 99,34 et l'USD/CHF grignotant 0,23% pour frémir à 0,9321.
L'association des logisticiens SVME avait auparavant révélé que l'activité des industries helvètes avait déploré une chute de son indice depuis 57,4 jusqu'à 54,6, au lieu de trébucher aux 55,9 qui étaient craints.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 1,04% pour monter à 0,8996, le NZD/USD engrangeant 1,09% pour culminer à 0,7810 et l'USD/CAD progressant de 0,04% pour aller vers 1,0536.
Le bureau des statistiques de l'Australie avait auparavant mis en relief une explosion de 10,8% des permis de construire pour juillet, au lieu des 4% qui semblaient probables, tout en revoyant le passage à vide de 6,9% ayant précédé vers moins de gravité avec 6,3%.
Il était cependant à déplorer que les bénéfices d'exploitation des entreprises du pays avaient fondu de 0,8% au second trimestre, alors qu'une augmentation de 0,7% était avancée, ceux du premier voyant cependant les 3% préalablement évalués atteindre 3,5% après révision.
Les valeurs fortement liées à la croissance avaient repris du poil de la bête à l'ouverture, après que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC ait connu en août une amélioration partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son estimation préalable.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,09% pour se situer à 82,19.
Le transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines et canadiennes demeurant inactives pour cause de fête du travail.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,02% pour grimper à 1,3217.
Le présidenta américain Barack Obama a lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
Sur le front de la zone euro, le groupe de recherches économiques Markit a fait savoir que son indicateur de l'activité du secteur secondaire espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.
Celui de l'Italie faisait de même, passant de 50,4 à 51,3, son meilleur niveau depuis juin 2011, faisant lui aussi mieux que les 51,0 avancés.
Le billet vert a cédé du terrain plus substantiel à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,45% pour se hisser à 1,5576.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé du mordant après que Markit y ait également montré une résurgence manufacturière, son baromètre s'envolant depuis les 54,8 revus à la hausse de juillet jusqu'à 57,2, du jamais vu depuis 30 mois.
Les experts n'envisageaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 55,0 pour la période considérée.
Le yen et le franc suisse ont cependant subi sa pression, l'USD/JPY engrangeant 1,24% pour se retrouver à 99,34 et l'USD/CHF grignotant 0,23% pour frémir à 0,9321.
L'association des logisticiens SVME avait auparavant révélé que l'activité des industries helvètes avait déploré une chute de son indice depuis 57,4 jusqu'à 54,6, au lieu de trébucher aux 55,9 qui étaient craints.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD raflant 1,04% pour monter à 0,8996, le NZD/USD engrangeant 1,09% pour culminer à 0,7810 et l'USD/CAD progressant de 0,04% pour aller vers 1,0536.
Le bureau des statistiques de l'Australie avait auparavant mis en relief une explosion de 10,8% des permis de construire pour juillet, au lieu des 4% qui semblaient probables, tout en revoyant le passage à vide de 6,9% ayant précédé vers moins de gravité avec 6,3%.
Il était cependant à déplorer que les bénéfices d'exploitation des entreprises du pays avaient fondu de 0,8% au second trimestre, alors qu'une augmentation de 0,7% était avancée, ceux du premier voyant cependant les 3% préalablement évalués atteindre 3,5% après révision.
Les valeurs fortement liées à la croissance avaient repris du poil de la bête à l'ouverture, après que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC ait connu en août une amélioration partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son estimation préalable.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,09% pour se situer à 82,19.
Le transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines et canadiennes demeurant inactives pour cause de fête du travail.