Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, laissant toutefois l'ascendant à son homologue nippon, alors que les bons résultats des Etats-Unis avaient consolidé dans la soirée l'hypothèse d'un poursuite de leur relance.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY se repliant de 0,27% pour tomber à 97,50.
Ce dernier profitait de la baisse de la bourse de Tokyo grâce à son aura de valeur sûre, en raison de l'angoisse persistante de difficultés d'emprunt en Chine, bien que l'autorité monétaire du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
Il avait d'autre part été signalé hier que la confiance des particuliers américains s'était regonflée ce mois-ci à son plus haut niveau depuis janvier 2008, et que les ventes de logements neufs avaient n'avaient jamais été aussi nombreuses en cinq ans qu'en mai.
Il avait auparavant été souligné que les commandes de biens durables avaient dépassé les espérances dans le même temps.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé la semaine passée qu'elle envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,40% pour tomber à 1,3026, creusant une nouvelle ornière de trois semaines.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait déclaré dans la matinée que les perspectives générales du bloc ayant adopté la monnaie unique exigeaient la poursuite d'une politique assouplie, dont la fin n'était pas encore en vue.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,41% pour chuter à 1,5357, à son plus bas niveau journalier.
Le bulletin sur la stabilité financière de la Banque d'Angleterre a averti à la mi-journée les banques, les assurances et les emprunteurs des dangers d'une flambée des taux, pointant toujourss du doigt la crise européenne comme premier danger menaçant l'économie britannique.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,32% pour culminer à 0,9409.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,31% pour se retrouver à 0,9288, le NZD/USD arrachant 0,56% pour culminer à 0,7782 et l'USD/CAD laissant filer 0,32% pour descendre à 1,0479.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,36% pour se situer à 83,08.
Les ministres des finances de l'Union Européenne comptaient de leur côté entamer aujourd'hui un sommet à Bruxelles, et les Etats-Unis présenter les chiffres révisés de leur croissance au premier trimestre.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY se repliant de 0,27% pour tomber à 97,50.
Ce dernier profitait de la baisse de la bourse de Tokyo grâce à son aura de valeur sûre, en raison de l'angoisse persistante de difficultés d'emprunt en Chine, bien que l'autorité monétaire du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
Il avait d'autre part été signalé hier que la confiance des particuliers américains s'était regonflée ce mois-ci à son plus haut niveau depuis janvier 2008, et que les ventes de logements neufs avaient n'avaient jamais été aussi nombreuses en cinq ans qu'en mai.
Il avait auparavant été souligné que les commandes de biens durables avaient dépassé les espérances dans le même temps.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé la semaine passée qu'elle envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,40% pour tomber à 1,3026, creusant une nouvelle ornière de trois semaines.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait déclaré dans la matinée que les perspectives générales du bloc ayant adopté la monnaie unique exigeaient la poursuite d'une politique assouplie, dont la fin n'était pas encore en vue.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,41% pour chuter à 1,5357, à son plus bas niveau journalier.
Le bulletin sur la stabilité financière de la Banque d'Angleterre a averti à la mi-journée les banques, les assurances et les emprunteurs des dangers d'une flambée des taux, pointant toujourss du doigt la crise européenne comme premier danger menaçant l'économie britannique.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,32% pour culminer à 0,9409.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,31% pour se retrouver à 0,9288, le NZD/USD arrachant 0,56% pour culminer à 0,7782 et l'USD/CAD laissant filer 0,32% pour descendre à 1,0479.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,36% pour se situer à 83,08.
Les ministres des finances de l'Union Européenne comptaient de leur côté entamer aujourd'hui un sommet à Bruxelles, et les Etats-Unis présenter les chiffres révisés de leur croissance au premier trimestre.