Investing.com - Le dollar U.S. gardait la forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, se retrouvant au plus bas niveau du jour contre son homologue nippon, après qu'il ait été montré que l'économie où il a cours avait réalisé une expansion décevante sur les trois premiers mois de l 'année.
En second partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY se repliant de 0,33% pour tomber à 97,44.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant, alors que les experts pensaient qu'il demeurerait identique à sa première évaluation.
Il a aussi précisé que les dépenses des consommateurs avaient suivi le même mouvement, avançant de 2,6% au lieu des 3,4% estimés au préalable.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé la semaine passée qu'elle envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La devise nippone profitait de la baisse de la bourse de Tokyo grâce à son aura de valeur sûre, en raison de l'angoisse persistante de difficultés d'emprunt en Chine, bien que l'autorité monétaire du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,28% pour tomber à 1,3041, limitant les dégâts après avoir auparavant creusé une nouvelle ornière de trois semaines à 1,3014.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait déclaré dans la matinée que les perspectives générales du bloc ayant adopté la monnaie unique exigeaient la poursuite d'une politique assouplie, dont la fin n'était pas encore en vue.
Le billet vert a également gagné un terrain moins substantiel sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,27% pour chuter à 1,5350, après avoir établi son pire cours journalier à 1,5350.
Le bulletin sur la stabilité financière de la Banque d'Angleterre a averti à la mi-journée les banques, les assurances et les emprunteurs du danger d'une flambée des taux, pointant toujourss du doigt la crise européenne comme premier danger menaçant l'économie britannique.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,10% pour culminer à 0,9392.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,52% pour se retrouver à 0,9307, le NZD/USD arrachant 0,95% pour culminer à 0,7810 et l'USD/CAD laissant filer 0,35% pour descendre à 1,0475.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,19% pour se situer à 82,94.
Les ministres des finances de l'Union Européenne comptaient de leur côté entamer aujourd'hui un sommet à Bruxelles, afin d'évoquer les modalités d'une union bancaire.
En second partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY se repliant de 0,33% pour tomber à 97,44.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a en effet révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant, alors que les experts pensaient qu'il demeurerait identique à sa première évaluation.
Il a aussi précisé que les dépenses des consommateurs avaient suivi le même mouvement, avançant de 2,6% au lieu des 3,4% estimés au préalable.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait affirmé la semaine passée qu'elle envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La devise nippone profitait de la baisse de la bourse de Tokyo grâce à son aura de valeur sûre, en raison de l'angoisse persistante de difficultés d'emprunt en Chine, bien que l'autorité monétaire du pays ait laissé entendre hier qu'elle abreuvait les établissements financiers en argent frais.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,28% pour tomber à 1,3041, limitant les dégâts après avoir auparavant creusé une nouvelle ornière de trois semaines à 1,3014.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait déclaré dans la matinée que les perspectives générales du bloc ayant adopté la monnaie unique exigeaient la poursuite d'une politique assouplie, dont la fin n'était pas encore en vue.
Le billet vert a également gagné un terrain moins substantiel sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,27% pour chuter à 1,5350, après avoir établi son pire cours journalier à 1,5350.
Le bulletin sur la stabilité financière de la Banque d'Angleterre a averti à la mi-journée les banques, les assurances et les emprunteurs du danger d'une flambée des taux, pointant toujourss du doigt la crise européenne comme premier danger menaçant l'économie britannique.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,10% pour culminer à 0,9392.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,52% pour se retrouver à 0,9307, le NZD/USD arrachant 0,95% pour culminer à 0,7810 et l'USD/CAD laissant filer 0,35% pour descendre à 1,0475.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,19% pour se situer à 82,94.
Les ministres des finances de l'Union Européenne comptaient de leur côté entamer aujourd'hui un sommet à Bruxelles, afin d'évoquer les modalités d'une union bancaire.