Investing.com - Le dollar U.S. était dans une forme partagée face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, et notamment son homologue nippon et helvète, le goût pour les valeurs sûres ayant été érodé par le reflux de l'angoisse de frappes contre la Syrie de la part des Etats-Unis et les belles performances de la Chine.
En seconde partie de séance européenne, le yen a davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,68% pour se hisser à 100,25, aux abords d'un pic mensuel.
De bons résultats industriels et commerciaux ont en effet rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse.
Il a ainsi été révélé à l'aube que la production des usines chinoises avait dépassé les espérances pour le mois passé, et que les ventes au détail avaient connu une amélioration inattendue.
L'atmosphère s'est aussi éclaircie après que le président américain Barack Obama ait déclaré que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Le billet vert demeurait d'autre part fragilisé après que le dernier décompte ait montré moins de créations de postes hors agriculture en août là où il a cours qu'espéré.
Cette déception a du coup une fois de plus entretenu le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses 85 milliards de rachats d'actifs mensuels, ce qui pourrait arriver dès sa réunion des 17 et 18 septembre.
Il en allait de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,07% pour tomber à 1,3244.
Il avait auparavant été souligné que la récession subie par l'Italie était pire que redoutée.
Son économie a ainsi subi une déconvenue de 0,3% au second trimestre, au lieu des 0,2% estimés au préalable, pour un total annuel de 2,1% au lieu des 2% avancés.
La livre sterling s'accrochait cependant à un pic de trois mois, le GBP/USD frémissant de 0,06% pour s'établir à 1,5706.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,27% pour culminer à 0,9349.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,67% pour se retrouver à 0,9289, le NZD/USD arrachant 0,45% pour culminer à 0,8052 et l'USD/CAD chutant de 0,30% pour descendre à 1,0344.
Les autorités du Canada ont de leur côté déploré une baisse du nombre des lancements de chantiers plus importante qu'il n'était craint pour le mois passé, fondant depuis les 193.000 de juillet vers 180.300, au lieu des 190.000 anticipés par les experts.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 81,91.
En seconde partie de séance européenne, le yen a davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,68% pour se hisser à 100,25, aux abords d'un pic mensuel.
De bons résultats industriels et commerciaux ont en effet rassuré quand à la capacité de la seconde économie mondiale à se sortir de l'impasse.
Il a ainsi été révélé à l'aube que la production des usines chinoises avait dépassé les espérances pour le mois passé, et que les ventes au détail avaient connu une amélioration inattendue.
L'atmosphère s'est aussi éclaircie après que le président américain Barack Obama ait déclaré que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Le billet vert demeurait d'autre part fragilisé après que le dernier décompte ait montré moins de créations de postes hors agriculture en août là où il a cours qu'espéré.
Cette déception a du coup une fois de plus entretenu le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses 85 milliards de rachats d'actifs mensuels, ce qui pourrait arriver dès sa réunion des 17 et 18 septembre.
Il en allait de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,07% pour tomber à 1,3244.
Il avait auparavant été souligné que la récession subie par l'Italie était pire que redoutée.
Son économie a ainsi subi une déconvenue de 0,3% au second trimestre, au lieu des 0,2% estimés au préalable, pour un total annuel de 2,1% au lieu des 2% avancés.
La livre sterling s'accrochait cependant à un pic de trois mois, le GBP/USD frémissant de 0,06% pour s'établir à 1,5706.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,27% pour culminer à 0,9349.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD empochant 0,67% pour se retrouver à 0,9289, le NZD/USD arrachant 0,45% pour culminer à 0,8052 et l'USD/CAD chutant de 0,30% pour descendre à 1,0344.
Les autorités du Canada ont de leur côté déploré une baisse du nombre des lancements de chantiers plus importante qu'il n'était craint pour le mois passé, fondant depuis les 193.000 de juillet vers 180.300, au lieu des 190.000 anticipés par les experts.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,10% pour se situer à 81,91.