Investing.com - Le dollar U.S. ne faiblissait pas face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, avec l'espoir que de bonnes performances là où il a cours dévoilées demain confirment rumeurs persistantes d'une fermeture imminente des robinets de son émettrice.
En seconde partie de séance européenne, le yen s'est mis à fléchir devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,57% pour se hisser à 96,80, après avoir établi un plancher journalier à 95,93, après qu'il ait été montré que l'économie nippone avait connu une progression décevante.
Les autorités japonaises ont en effet déploré à l'aube une croissance de seulement 0,6% au second trimestre, au lieu des 0,9% envisagés, et de 2,6% annualisés.
Le billet vert reprenait des couleurs à la veille de la publication des résultats commerciaux des Etats-Unis pour le mois dernier, qui pourraient, en cas de succès, augmener les probabilités de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Il avait perdu des plumes après que le rapport sur l'emploi des Etats-Unis publié le 2 août ait mis en évidence un nombre de créations de postes inférieur aux espérances pour le mois passé.
Il a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,20% pour chuter à 1,5475.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,42% pour tomber à 1,3286.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,58% pour culminer à 0,9277.
La devise helvète n'a guère fait cas de l'information selon laquelle les ventes au détail de la confédération avaient connu une expansion de 2,3% d'une année sur l'autre en juin, alors que 1,8% étaient anticipés comme en mai.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,33% pour se retrouver à 0,9167, le NZD/USD se laissant arracher 0,34% pour toucher le fond à 0,8011 et l'USD/CAD prenant 0,16% pour monter à 1,0303.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,40% pour se situer à 81,49.
En seconde partie de séance européenne, le yen s'est mis à fléchir devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,57% pour se hisser à 96,80, après avoir établi un plancher journalier à 95,93, après qu'il ait été montré que l'économie nippone avait connu une progression décevante.
Les autorités japonaises ont en effet déploré à l'aube une croissance de seulement 0,6% au second trimestre, au lieu des 0,9% envisagés, et de 2,6% annualisés.
Le billet vert reprenait des couleurs à la veille de la publication des résultats commerciaux des Etats-Unis pour le mois dernier, qui pourraient, en cas de succès, augmener les probabilités de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Il avait perdu des plumes après que le rapport sur l'emploi des Etats-Unis publié le 2 août ait mis en évidence un nombre de créations de postes inférieur aux espérances pour le mois passé.
Il a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,20% pour chuter à 1,5475.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,42% pour tomber à 1,3286.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,58% pour culminer à 0,9277.
La devise helvète n'a guère fait cas de l'information selon laquelle les ventes au détail de la confédération avaient connu une expansion de 2,3% d'une année sur l'autre en juin, alors que 1,8% étaient anticipés comme en mai.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,33% pour se retrouver à 0,9167, le NZD/USD se laissant arracher 0,34% pour toucher le fond à 0,8011 et l'USD/CAD prenant 0,16% pour monter à 1,0303.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,40% pour se situer à 81,49.