Investing.com - Le dollar U.S. gardait la forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, avec l'espoir que de bonnes performances là où il a cours dévoilées demain confirment rumeurs persistantes d'une fermeture imminente des robinets de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, le yen s'est mis à fléchir devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,56% pour se hisser à 96,79, après avoir établi un plancher journalier à 95,93, après qu'il ait été montré que l'économie nippone avait connu une progression décevante.
Les autorités japonaises ont en effet déploré à l'aube une croissance de seulement 0,6% au second trimestre, au lieu des 0,9% envisagés, et de 2,6% annualisés.
Le billet vert reprenait des couleurs à la veille de la publication des résultats commerciaux des Etats-Unis pour le mois dernier, qui pourraient, en cas de succès, augmener les probabilités de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Il a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,15% pour chuter à 1,5483.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,36% pour tomber à 1,3294.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,52% pour culminer à 0,9271.
La devise helvète n'a guère fait cas de l'information selon laquelle les ventes au détail de la confédération avaient connu une expansion de 2,3% d'une année sur l'autre en juin, alors que 1,8% étaient anticipés comme en mai.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,61% pour se retrouver à 0,9141, le NZD/USD se laissant arracher 0,46% pour toucher le fond à 0,7999 et l'USD/CAD prenant 0,28% pour monter à 1,0316.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,36% pour se situer à 81,46.
En fin de première partie de séance européenne, le yen s'est mis à fléchir devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,56% pour se hisser à 96,79, après avoir établi un plancher journalier à 95,93, après qu'il ait été montré que l'économie nippone avait connu une progression décevante.
Les autorités japonaises ont en effet déploré à l'aube une croissance de seulement 0,6% au second trimestre, au lieu des 0,9% envisagés, et de 2,6% annualisés.
Le billet vert reprenait des couleurs à la veille de la publication des résultats commerciaux des Etats-Unis pour le mois dernier, qui pourraient, en cas de succès, augmener les probabilités de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Il a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,15% pour chuter à 1,5483.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,36% pour tomber à 1,3294.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,52% pour culminer à 0,9271.
La devise helvète n'a guère fait cas de l'information selon laquelle les ventes au détail de la confédération avaient connu une expansion de 2,3% d'une année sur l'autre en juin, alors que 1,8% étaient anticipés comme en mai.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,61% pour se retrouver à 0,9141, le NZD/USD se laissant arracher 0,46% pour toucher le fond à 0,7999 et l'USD/CAD prenant 0,28% pour monter à 1,0316.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,36% pour se situer à 81,46.