Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, après que des hauts responsables de son émettrice aient rappelé que la fin imminente de ses perfusions de capitaux n'était qu'une possibilité et non une certitude comme certains semblaient affirmer.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,39% pour se retrouver à 97,34.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait pourtant redoré son blason en attisant savamment les rumeurs, affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Il en était de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3122.
La région ayant adopté la devise européenne était inquiète au sujet des orientations futures de la Fed, voyant aussi l'Espagne et l'Italie subir une poussée des couts de leurs emprunts lors des enchères de la mi-journée.
Madrid a ainsi émis pour 930 millions d'euros de bons du trésor à trois mois à un taux moyen de 0,86%, soit plus du double des 0,33% précédents, et pour 2,14 milliards d'euros à échéance à neuf mois, passant de 0,78 à 1,44%.
Rome a fait de même avec 3,5 milliards d'euros en obligations courant sur deux ans, à 2,4% de moyenne au lieu des 1,1% constatés précédemment.
La livre sterling a fait mieux que résister au billet vert, le GBP/USD arrachant 0,15% pour de hisser à 1,5456, alors que le franc suisse finissant par y céder, l'USD/CHF s'élevant de 0,12% pour s'établir à 0,9343.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,14% pour monter à 0,9259, le NZD/USD engrangeant 0,10% pour culminer à 0,7739 et l'USD/CAD régressant de 0,26% pour aller vers 1,0471.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,12% pour se situer à 82,54.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,39% pour se retrouver à 97,34.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ben Bernanke, président de la Fed, avait pourtant redoré son blason en attisant savamment les rumeurs, affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Il en était de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3122.
La région ayant adopté la devise européenne était inquiète au sujet des orientations futures de la Fed, voyant aussi l'Espagne et l'Italie subir une poussée des couts de leurs emprunts lors des enchères de la mi-journée.
Madrid a ainsi émis pour 930 millions d'euros de bons du trésor à trois mois à un taux moyen de 0,86%, soit plus du double des 0,33% précédents, et pour 2,14 milliards d'euros à échéance à neuf mois, passant de 0,78 à 1,44%.
Rome a fait de même avec 3,5 milliards d'euros en obligations courant sur deux ans, à 2,4% de moyenne au lieu des 1,1% constatés précédemment.
La livre sterling a fait mieux que résister au billet vert, le GBP/USD arrachant 0,15% pour de hisser à 1,5456, alors que le franc suisse finissant par y céder, l'USD/CHF s'élevant de 0,12% pour s'établir à 0,9343.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,14% pour monter à 0,9259, le NZD/USD engrangeant 0,10% pour culminer à 0,7739 et l'USD/CAD régressant de 0,26% pour aller vers 1,0471.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,12% pour se situer à 82,54.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.