Investing.com - Le dollar U.S. était sans direction claire face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, après que les parlementaires chypriotes aient refusé la taxation des dépôts auprès des banques nationales dont dépendait l'octroi des 10 milliards d'euros d'aides d'urgence internationales.
En première partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.09% pour grimper à 1.2893.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup appelé à une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de rechange, une fois les termes de l'accord de secours refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux banques de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Mais la monnaie unique a retrouvé des couleurs grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
La BCE a par ailleurs signalé en début de journée que l'excédent de son compte courant était passé de 16 à 14.8 milliards d'euros pour janvier, alors qu'un repli à 7.9 milliards était envisagé.
Il était d'autre part à noter que les prix à la production allemands avaient trébuché de 0.1% en février, au lieu de frémir de 0.2% après avoir grimpé de 0.8% lors du premier ois de l'année.
La livre sterling a également cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0.44% pour glisser à 1.5029.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY gagnant 0.25% pour se retrouver à 95.4 et l'USD/CHF arrachant 0.09% pour s'élever à 0.9476.
La devise nippone restait sur la défensive après l'intronisation à l'aube de Haruhiko Kuroda au poste de gouverneur de la Banque du Japon, ainsi que celle de ses deux adjoints, sur fond d'attente d'assouplissements musclés de leur part afin de combattre la déflation.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.1% pour aller vers 1.0258, l'AUD/USD raflant 0.08% pour monter à 1.0378 et le NZD/USD dérapant de 0.35% pour toucher le fond à 0.8218.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, restait stable à 83.16.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
En première partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.09% pour grimper à 1.2893.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup appelé à une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de rechange, une fois les termes de l'accord de secours refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux banques de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Mais la monnaie unique a retrouvé des couleurs grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
La BCE a par ailleurs signalé en début de journée que l'excédent de son compte courant était passé de 16 à 14.8 milliards d'euros pour janvier, alors qu'un repli à 7.9 milliards était envisagé.
Il était d'autre part à noter que les prix à la production allemands avaient trébuché de 0.1% en février, au lieu de frémir de 0.2% après avoir grimpé de 0.8% lors du premier ois de l'année.
La livre sterling a également cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0.44% pour glisser à 1.5029.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY gagnant 0.25% pour se retrouver à 95.4 et l'USD/CHF arrachant 0.09% pour s'élever à 0.9476.
La devise nippone restait sur la défensive après l'intronisation à l'aube de Haruhiko Kuroda au poste de gouverneur de la Banque du Japon, ainsi que celle de ses deux adjoints, sur fond d'attente d'assouplissements musclés de leur part afin de combattre la déflation.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.1% pour aller vers 1.0258, l'AUD/USD raflant 0.08% pour monter à 1.0378 et le NZD/USD dérapant de 0.35% pour toucher le fond à 0.8218.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, restait stable à 83.16.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.