Investing.com - Le dollar U.S. était sur la défensive face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, notamment ses homologues européen et japonais, alors que le choc des résultats mitigés des élections en Italie se dissipait dans l'expectative de la mise en vente imminente d'emprunts du pays.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.11% pour grimper à 1.3076, et sortir de son creux des sept semaines écoulées.
Aucun parti ni coalition n'a en effet réussi à établir de majorité au sénat de Rome, faisant ressurgir le spectre d'une période d'instabilité politique prolongée et d'un retour de la crise régionale qui pourrait en résulter.
Les enchères d'obligations quinquennales et décennales de l'Italie d'aujourd'hui seront particulièrement surveillées, après que les taux appliqués à ces dernières aient grimpé hier à leur plus haut niveau depuis décembre.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY dérapant de 0.32% pour glisser à 91.68.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a pour sa part défendu dans la soirée le programme d'injections de liquidités de cette dernière, affirmant lors de son témoignage devant le comité bancaire sénatorial que ses avantages surpassaient ses éventuels inconvénients.
Le billet vert n'a toutefois guère cédé de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.5137, demeurant aux abords de son creux des 31 mois passés.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0.08% pour tomber à 0.9311.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.05% pour aller vers 1.0263, l'AUD/USD se repliant de 0.35% pour descendre à 1.0192 et le NZD/USD laissant échapper 0.16% pour toucher le fond à 0.8234.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.09% pour se situer à 81.83.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec leurs commandes de biens durables et leurs ventes de logements en cours, alors que le directeur de leur banque centrale comparaîtra pour un deuxième jour à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, alors que Mario Draghi, son homologue européen, participera à de son côté une conférence en Allemagne.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.11% pour grimper à 1.3076, et sortir de son creux des sept semaines écoulées.
Aucun parti ni coalition n'a en effet réussi à établir de majorité au sénat de Rome, faisant ressurgir le spectre d'une période d'instabilité politique prolongée et d'un retour de la crise régionale qui pourrait en résulter.
Les enchères d'obligations quinquennales et décennales de l'Italie d'aujourd'hui seront particulièrement surveillées, après que les taux appliqués à ces dernières aient grimpé hier à leur plus haut niveau depuis décembre.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY dérapant de 0.32% pour glisser à 91.68.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a pour sa part défendu dans la soirée le programme d'injections de liquidités de cette dernière, affirmant lors de son témoignage devant le comité bancaire sénatorial que ses avantages surpassaient ses éventuels inconvénients.
Le billet vert n'a toutefois guère cédé de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.5137, demeurant aux abords de son creux des 31 mois passés.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0.08% pour tomber à 0.9311.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.05% pour aller vers 1.0263, l'AUD/USD se repliant de 0.35% pour descendre à 1.0192 et le NZD/USD laissant échapper 0.16% pour toucher le fond à 0.8234.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.09% pour se situer à 81.83.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec leurs commandes de biens durables et leurs ventes de logements en cours, alors que le directeur de leur banque centrale comparaîtra pour un deuxième jour à Washington DC au sujet de l'état de la politique monétaire, alors que Mario Draghi, son homologue européen, participera à de son côté une conférence en Allemagne.