Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, ésistant bien à son homologue européen et prenant largement le dessus contre le japonais après que Chypre ait obtenu une bouée de sauvetage internationale, dissipant ainsi les spectres d'un effondrement de son système bancaire et d'une sortie du bloc euro.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant ce dernier, l'EUR/USD grignotant 0.08% pour grimper à 1.3, après avoir culminé à 1.3048 à l'aube.
Les ministres des finances de zone euro ont en effet octroyé à l'aube 10 milliards d'euros à Chypre, qui verra la fermeture de la Laiki Bank, second plus gros établissement financier national, infligeant des pertes importantes aux dépôts supérieurs à 100 000 euros.
Ceux inférieurs à cette somme seront toutefois "totalement garantis".
La monnaie unique demeurait malgré tout fragilisée par des perspectives de croissance régionales peu reluisantes et des incertitudes politiques italiennes persistantes.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY gagnant 0.28% pour s'élever à 94.74.
Le couple semblait devoir se maintenir aux abords de son sommet de trois ans et demi, sur fond d'attente d'assouplissements plus musclés de la part de la Banque du Japon, sous l'égide de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda, à l'approche de sa réunion d'orientation de la semaine prochaine.
Le billet vert restait proche d'un creux ensuel par rapport à la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0.03% pour glisser à 1.5225.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0.06% pour tomber à 0.9398.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.12% pour aller vers 1.0216, l'AUD/USD raflant 0.23% pour monter à 1.0469 et le NZD/USD engrangeant 0.01% pour culminer à 0.8354.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.04% pour se situer à 82.48.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'intervention de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui prendra la parole lors d'une conférence à Londres.
Celle-ci a en effet annoncé la semaine passée qu'elle gardait son cap, malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.
En première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant ce dernier, l'EUR/USD grignotant 0.08% pour grimper à 1.3, après avoir culminé à 1.3048 à l'aube.
Les ministres des finances de zone euro ont en effet octroyé à l'aube 10 milliards d'euros à Chypre, qui verra la fermeture de la Laiki Bank, second plus gros établissement financier national, infligeant des pertes importantes aux dépôts supérieurs à 100 000 euros.
Ceux inférieurs à cette somme seront toutefois "totalement garantis".
La monnaie unique demeurait malgré tout fragilisée par des perspectives de croissance régionales peu reluisantes et des incertitudes politiques italiennes persistantes.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY gagnant 0.28% pour s'élever à 94.74.
Le couple semblait devoir se maintenir aux abords de son sommet de trois ans et demi, sur fond d'attente d'assouplissements plus musclés de la part de la Banque du Japon, sous l'égide de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda, à l'approche de sa réunion d'orientation de la semaine prochaine.
Le billet vert restait proche d'un creux ensuel par rapport à la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0.03% pour glisser à 1.5225.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0.06% pour tomber à 0.9398.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.12% pour aller vers 1.0216, l'AUD/USD raflant 0.23% pour monter à 1.0469 et le NZD/USD engrangeant 0.01% pour culminer à 0.8354.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.04% pour se situer à 82.48.
Les yeux étaient désormais tournés vers l'intervention de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui prendra la parole lors d'une conférence à Londres.
Celle-ci a en effet annoncé la semaine passée qu'elle gardait son cap, malgré les signaux positifs provenant de l'économie américaine.