Investing.com - Le dollar U.S. n'a pas réussi à prendre l'avantage face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, son homologue britannique bondissant vers des sommets plus qu'hebdomadaires après qu'il ait été révélé que les prestataires de services avaient connu le mois dernier leur expansion la plus marquée en six ans et demi là où elle a cours.
En fin de première partie de séance européenne, il a cédé un terrain substantiel à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,40% pour atteindre 1,5621.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet vu sa mesure de l'expansion du secteur tertiaire du Royaume-Uni avancer passer de 60,2 à 60,5 en août, son plus haut niveau depuis décembre 2006, alors qu'un faux pas à 59,0 était anticipé.
Il a précisé avoir enregistré la huitième augmentation successive du volume de travail dû à de nouveaux clients, et la plus forte en plus de 16 ans.
Le billet vert a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD effectuant un saut de puce de 0,02% pour s'élever à 1,3172, aux abords d'une ornière de six semaines.
La monnaie unique demeurait fragilisée, dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion de jeudi prochain.
Markit a aussi fait savoir dans la matinée que son indice définitif des directeurs des achats du secteur tertiaire allemand avait été revu à la hausse depuis les 52,4 évalués au préalable jusqu'à 52,8 pour le mois dernier, tandis que celui du bloc euro suivait le chemin inverse de 51,0 à 50,7.
Les ventes au détail de ce dernier n'ont quand à elles connu qu'un sursaut de 0,1% en juillet, au lieu des 0,4% pressentis.
Il était aussi à signaler que son produit intérieur brut avait gonflé, conformément aux estimations préliminaires, de 0,3% entre le début avril et la fin juin.
Le yen a aussi fait mieux que résister, l'USD/JPY fléchissant de 0,02% pour glisser à 99,54, s'accrochant à un pic mensuel.
Son adversaire continuait à profiter des rumeurs persistantes de resserrage de boulons dès ce mois-ci de la part de son émettrice, notamment suite à des résultats encourageants de la part des usines américaines.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Le franc suisse a aussi surmonté sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0,03% pour toucher le fond à 0,9363.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,98% pour se retrouver à 0,9149, le NZD/USD prenant 1,06% pour culminer à 0,7883 et l'USD/CAD perdant 0,38% pour descendre à 1,0492.
La première avait retrouvé du poil de la bête après qu'il ait été montré que l'économie de l'Australie avait sans surprise réalisé une croissance de 0,6% du début avril à la fin juin, et dépassé les espérances avec 2,6% annualisés au second trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 82,31.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde du commerce extérieur.
En fin de première partie de séance européenne, il a cédé un terrain substantiel à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,40% pour atteindre 1,5621.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet vu sa mesure de l'expansion du secteur tertiaire du Royaume-Uni avancer passer de 60,2 à 60,5 en août, son plus haut niveau depuis décembre 2006, alors qu'un faux pas à 59,0 était anticipé.
Il a précisé avoir enregistré la huitième augmentation successive du volume de travail dû à de nouveaux clients, et la plus forte en plus de 16 ans.
Le billet vert a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD effectuant un saut de puce de 0,02% pour s'élever à 1,3172, aux abords d'une ornière de six semaines.
La monnaie unique demeurait fragilisée, dans l'expectative d'une absence d'initiatives de la part de la Banque Centrale Européenne après sa réunion de jeudi prochain.
Markit a aussi fait savoir dans la matinée que son indice définitif des directeurs des achats du secteur tertiaire allemand avait été revu à la hausse depuis les 52,4 évalués au préalable jusqu'à 52,8 pour le mois dernier, tandis que celui du bloc euro suivait le chemin inverse de 51,0 à 50,7.
Les ventes au détail de ce dernier n'ont quand à elles connu qu'un sursaut de 0,1% en juillet, au lieu des 0,4% pressentis.
Il était aussi à signaler que son produit intérieur brut avait gonflé, conformément aux estimations préliminaires, de 0,3% entre le début avril et la fin juin.
Le yen a aussi fait mieux que résister, l'USD/JPY fléchissant de 0,02% pour glisser à 99,54, s'accrochant à un pic mensuel.
Son adversaire continuait à profiter des rumeurs persistantes de resserrage de boulons dès ce mois-ci de la part de son émettrice, notamment suite à des résultats encourageants de la part des usines américaines.
L'angoisse d'une intervention militaire des Etats-Unis contre le gouvernement syrien a d'autre part refait surface après que John Boehner, porte-parole du groupe des parlementaires républicains, et Nancy Pelosi, son homologue démocrate, aient annoncé leur soutien à l'idée des frappes aériennes proposées par le président Obama.
Le franc suisse a aussi surmonté sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0,03% pour toucher le fond à 0,9363.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,98% pour se retrouver à 0,9149, le NZD/USD prenant 1,06% pour culminer à 0,7883 et l'USD/CAD perdant 0,38% pour descendre à 1,0492.
La première avait retrouvé du poil de la bête après qu'il ait été montré que l'économie de l'Australie avait sans surprise réalisé une croissance de 0,6% du début avril à la fin juin, et dépassé les espérances avec 2,6% annualisés au second trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,08% pour se situer à 82,31.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde du commerce extérieur.