Investing.com - Le dollar U.S. retrouvait quelque peu le sourire face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, prenant cependant le dessus contre ses homologues nippon et britannique, dans l'expectative des résultats américains du jour, en quête d'indices sur les orientations futures de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY avançant de 0,36% pour se retrouver à 98,05.
Il a en effet laissé le dollar et l'euro prendre l'avantage après que les places d'Asie aient retrouvé la sourire à l'aube, la peur d'un manque de liquidités en Chine ayant quelque peu reflué, et les perspectives d'expansion économique du pays semblant aussi plus riantes.
Le billet vert gardait quand à lui des couleurs grâce aux rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale commencerait à fermer les vannes d'ici la fin de l'année, malgré la révision à la baisse de la croissance américaine ayant eu lieu mercredi.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant.
Il en était de même avec la livre sterling, le GBP/USD reculant de 0,32% pour glisser à 1,5264, aux abords d'un pic de trois semaines.
La livre sterling a perdu de sa superbe après que des chiffres révisés aient fait savoir que le produit intérieur brut du Royaume-Uni avait gonflé de seulement 0,3% annualisés au premier trimestre, au lieu des 0,6% auparavant avancés.
La monnaie unique gardait par contre du mordant, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3015.
Elle demeurait cependant fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le franc suisse a d'autre part subi sa pression, l'USD/CHF se renforçant de 0,29% pour monter à 0,9459.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,08% pour monter à 0,9284, le NZD/USD engrangeant 0,22% pour culminer à 0,7806 et l'USD/CAD régressant de 0,09% pour aller vers 1,0458.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, frémissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 83,23.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY avançant de 0,36% pour se retrouver à 98,05.
Il a en effet laissé le dollar et l'euro prendre l'avantage après que les places d'Asie aient retrouvé la sourire à l'aube, la peur d'un manque de liquidités en Chine ayant quelque peu reflué, et les perspectives d'expansion économique du pays semblant aussi plus riantes.
Le billet vert gardait quand à lui des couleurs grâce aux rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale commencerait à fermer les vannes d'ici la fin de l'année, malgré la révision à la baisse de la croissance américaine ayant eu lieu mercredi.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant.
Il en était de même avec la livre sterling, le GBP/USD reculant de 0,32% pour glisser à 1,5264, aux abords d'un pic de trois semaines.
La livre sterling a perdu de sa superbe après que des chiffres révisés aient fait savoir que le produit intérieur brut du Royaume-Uni avait gonflé de seulement 0,3% annualisés au premier trimestre, au lieu des 0,6% auparavant avancés.
La monnaie unique gardait par contre du mordant, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3015.
Elle demeurait cependant fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le franc suisse a d'autre part subi sa pression, l'USD/CHF se renforçant de 0,29% pour monter à 0,9459.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,08% pour monter à 0,9284, le NZD/USD engrangeant 0,22% pour culminer à 0,7806 et l'USD/CAD régressant de 0,09% pour aller vers 1,0458.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, frémissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 83,23.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours.