Investing.com - Le dollar U.S. s'est retrouvé sur la défensive face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, notamment contre son homologue européen, en raison de l'espoir d'une solution au problème chypriote après que les parlementaires aient refusé la taxation controversée des dépôts auprès des banques nationales, alors qu'il creusait l'écart sur le japonais.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.28% pour grimper à 1.2917, s'éloignant d'une ornière de quatre mois.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs dans l'hypothèse qu'une alternative soit trouvée au plan de sauvetage international à hauteur de 10 milliards d'euros, entravé hier par le refus d'un prélèvement sur les comptes bancaires.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux banques de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY gagnant 0.27% pour se hisser à 95.42.
Haruhiko Kuroda a été intronisé à l'aube dans ses fonctions de gouverneur de la Banque du Japon, accompagné de ses deux adjoints, sur fond d'attente d'assouplissements musclés de leur part afin de combattre la déflation.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD empochant 0.19% pour se retrouver à 1.5126.
Le procès-verbal de la réunion du conseil directeur de la Banque d'Angleterre de mars avait montré dans la matinée que ses membres restaient sur leurs positions concernant les apports de capitaux, sur fond de stabilisation du marché du travail.
Il signalait ainsi que trois d'entre eux, parmi lesquels le gouverneur Mervyn King, avaient voté pour renforcer les acquisitions d'actifs, comme en février.
Le bureau national des statistiques a pour sa part dénombré 1 500 demandeurs d'emploi de moins après ajustement pour le mois dernier, au lieu des 5 000 espérés.
Le taux de chômage s'est cependant maintenu à 7.8% comme prévu dans le même temps.
Le franc suisse a du coup exercé sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0.11% pour déraper à 0.9457.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.2% pour aller vers 1.0246, l'AUD/USD raflant 0.18% pour monter à 1.0388 et le NZD/USD dérapant de 0.28% pour toucher le fond à 0.8223.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait de 0.15 pour s'établir à 83.02.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, devait quand à lui présenter dans l'après-midi le budget annuel devant les élus, et avait de fortes chances de revoir ses prévisions de croissance à la baisse.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.28% pour grimper à 1.2917, s'éloignant d'une ornière de quatre mois.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs dans l'hypothèse qu'une alternative soit trouvée au plan de sauvetage international à hauteur de 10 milliards d'euros, entravé hier par le refus d'un prélèvement sur les comptes bancaires.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux banques de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY gagnant 0.27% pour se hisser à 95.42.
Haruhiko Kuroda a été intronisé à l'aube dans ses fonctions de gouverneur de la Banque du Japon, accompagné de ses deux adjoints, sur fond d'attente d'assouplissements musclés de leur part afin de combattre la déflation.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD empochant 0.19% pour se retrouver à 1.5126.
Le procès-verbal de la réunion du conseil directeur de la Banque d'Angleterre de mars avait montré dans la matinée que ses membres restaient sur leurs positions concernant les apports de capitaux, sur fond de stabilisation du marché du travail.
Il signalait ainsi que trois d'entre eux, parmi lesquels le gouverneur Mervyn King, avaient voté pour renforcer les acquisitions d'actifs, comme en février.
Le bureau national des statistiques a pour sa part dénombré 1 500 demandeurs d'emploi de moins après ajustement pour le mois dernier, au lieu des 5 000 espérés.
Le taux de chômage s'est cependant maintenu à 7.8% comme prévu dans le même temps.
Le franc suisse a du coup exercé sa pression, l'USD/CHF trébuchant de 0.11% pour déraper à 0.9457.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.2% pour aller vers 1.0246, l'AUD/USD raflant 0.18% pour monter à 1.0388 et le NZD/USD dérapant de 0.28% pour toucher le fond à 0.8223.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait de 0.15 pour s'établir à 83.02.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
George Osborne, chancelier de l'échiquier, chargé des finances du Royaume-Uni, devait quand à lui présenter dans l'après-midi le budget annuel devant les élus, et avait de fortes chances de revoir ses prévisions de croissance à la baisse.