Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, plongeant dans un creux hebdomadaire confronté au yen, après que les mesures prises par la Banque du Japon aient déçu les attentes, tandis que l'atmosphère s'était éclaircie après que les premiers bilans des dégâts causés par les intempéries aient été rassurants.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant son adversaire nippon, l'USD/JPY perdant 0.43% pour chuter à 79.45, alors que des actions plus décisives étaient espérées de la part de l'émettrice de ce dernier.
Celle-ci avait décidé à l'aube lors de son conseil d'orientation d'ajouter 11 billions de JPY à son programme de rachat d'actifs, dans l'espoir de stimuler l'activité économique et de contrer la surévaluation de sa devise.
Il en a été de même avec l'euro, l'EUR/USD grimpant de 0.38% pour se hisser à 1.2953.
Le soulagement était palpable après que l'Italie ait vu les coûts plonger à leur valeur la plus basse depuis mai 2011 lors d'une vente au plus offrant d'emprunts à cinq et dix ans.
Les craintes au sujet des perspectives économiques du bloc ayant adopté la monnaie unique étaient pourtant repassées au premier plan, après qu'une étude émanant des autorités ait dénombré pour octobre 20 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en Allemagne, soit le double des 10 000 déjà redoutés.
Le taux de chômage a du coup fremi jusqu'à 6.9%, atteignant ainsi le niveau de septembre après révision à la hausse des 6.8% initialement mesurés.
Il était cependant à noter que des chiffres officiels avaient montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, au lieu des 0.4% redoutés, prolongeant cependant la récession jusqu'à une durée d'un an.
Cette information survenait au lendemain de l'intervention de Mariano Rajoy, son premier ministre, affirmant hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.17% pour se monter à 1.606, mais aussi au franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.39% pour glisser à 0.9328.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.06% pour aller vers 1.0004, l'AUD/USD raflant 0.43% pour monter à 1.0375 et le NZD/USD engrangeant 0.38% pour culminer à 0.8222.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.34% pour se situer à 80.06.
Le volume des transactinos semblait devoir rester limité, les marchés américains s'apprêtant à rester clos pour la seconde journée d'affilée en raison des problèmes qui pourraient découler de l'ouragan Sandy.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant son adversaire nippon, l'USD/JPY perdant 0.43% pour chuter à 79.45, alors que des actions plus décisives étaient espérées de la part de l'émettrice de ce dernier.
Celle-ci avait décidé à l'aube lors de son conseil d'orientation d'ajouter 11 billions de JPY à son programme de rachat d'actifs, dans l'espoir de stimuler l'activité économique et de contrer la surévaluation de sa devise.
Il en a été de même avec l'euro, l'EUR/USD grimpant de 0.38% pour se hisser à 1.2953.
Le soulagement était palpable après que l'Italie ait vu les coûts plonger à leur valeur la plus basse depuis mai 2011 lors d'une vente au plus offrant d'emprunts à cinq et dix ans.
Les craintes au sujet des perspectives économiques du bloc ayant adopté la monnaie unique étaient pourtant repassées au premier plan, après qu'une étude émanant des autorités ait dénombré pour octobre 20 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en Allemagne, soit le double des 10 000 déjà redoutés.
Le taux de chômage a du coup fremi jusqu'à 6.9%, atteignant ainsi le niveau de septembre après révision à la hausse des 6.8% initialement mesurés.
Il était cependant à noter que des chiffres officiels avaient montré que l'économie de l'Espagne ne s'était contractée que de 0.3% au troisième trimestre, au lieu des 0.4% redoutés, prolongeant cependant la récession jusqu'à une durée d'un an.
Cette information survenait au lendemain de l'intervention de Mariano Rajoy, son premier ministre, affirmant hier qu'il accepterait une bouée de sauvetage "quand il estimerait qu'une telle décision servirait les intérêts nationaux".
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.17% pour se monter à 1.606, mais aussi au franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.39% pour glisser à 0.9328.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.06% pour aller vers 1.0004, l'AUD/USD raflant 0.43% pour monter à 1.0375 et le NZD/USD engrangeant 0.38% pour culminer à 0.8222.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.34% pour se situer à 80.06.
Le volume des transactinos semblait devoir rester limité, les marchés américains s'apprêtant à rester clos pour la seconde journée d'affilée en raison des problèmes qui pourraient découler de l'ouragan Sandy.