Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé du mordant face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, grâce à de belles performances de l'économie où il a cours, tandis que la prise de cap de son émettrice demeurant au centre des préoccupations.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,25% pour tomber à 1,3226.
Il a en effet repris du poil de la bête après que des chiffres gouvernementaux aient mis en relief 1,7% de croissance ajustés pour les Etats-Unis au second trimestre, au lieu des 1% avancés.
Elle s'est cependant contentée de 1,1% lors du précédent, au lieu des 1,8% estimés au préalable.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a quand à elle annoncé la création de 200.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois écoulé, dépassant ainsi les 180.000 prévus.
L'évaluation préliminaire à 188.000 de juin a pour sa part dû être revue à la hausse vers 198.000.
La monnaie unique avait auparavant vu son blason redoré après qu'une étude officielle ait dénombré 7.000 demandeurs d'emploi de moins en Allemagne pour le mois dernier, alors que seulement 4.000 avaient été prédits.
Le taux de chômage se maintenait par contre sans surprise à 6,8%.
Il avait auparavant été montré que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 1,5% en juin, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré suite à celui de 0,7% qui avait précédé.
Des informations préliminaires avaient précédemment révélé que les prix à la consommation du bloc euro avaient connu une augmentation sans surprise de 1,6% corrigés de mois-ci, tout comme lors du sixièmeme mois de l'année.
On pouvait aussi noter que le taux de chômage s'y était maintenu à 12,1% après ajustement saisonnier en juin, alors qu'un frémissement à 12,2% était craint.
Le billet vert a aussi pris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,60% pour reprendre pied à 1,5145.
Il a d'autre part exercé sa pression sur le yen et le franc suisse, l'USD/JPY gagnant 0,24% pour se retrouver à 98,26 et l'USD/CHF empochant 0,25% pour s'élever à à,9231.
L'agence de recherches économiques KOF avait précédemment révélé que son baromètre de l'économie helvète était passé de 1,15 à 1,23 pour ce mois-ci, soit un petit peu mieux que les 1,22 pressentis.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD dérapant de 0,95% pour descendre à 0,8976, le NZD/USD reculant de 0,42% pour toucher le fond à 0,7956 et l'USD/CAD progressant de 0,06% pour aller vers 1,0312.
Il était aussi à noter que la mesure de la confiance des entreprises de l'Australie établie par le groupe bancaire ANZ avait connu une embellie depuis 50,1 vers 52,8 en juillet, atteignant aainsi son meilleur niveau en 14 ans.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,32% pour se situer à 82,19.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part conclure la journée avec un rapport sur l'activité des usines de la région de Chicago.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,25% pour tomber à 1,3226.
Il a en effet repris du poil de la bête après que des chiffres gouvernementaux aient mis en relief 1,7% de croissance ajustés pour les Etats-Unis au second trimestre, au lieu des 1% avancés.
Elle s'est cependant contentée de 1,1% lors du précédent, au lieu des 1,8% estimés au préalable.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a quand à elle annoncé la création de 200.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois écoulé, dépassant ainsi les 180.000 prévus.
L'évaluation préliminaire à 188.000 de juin a pour sa part dû être revue à la hausse vers 198.000.
La monnaie unique avait auparavant vu son blason redoré après qu'une étude officielle ait dénombré 7.000 demandeurs d'emploi de moins en Allemagne pour le mois dernier, alors que seulement 4.000 avaient été prédits.
Le taux de chômage se maintenait par contre sans surprise à 6,8%.
Il avait auparavant été montré que les ventes au détail allemandes avaient plongé de 1,5% en juin, alors qu'un sursaut de 0,4% était espéré suite à celui de 0,7% qui avait précédé.
Des informations préliminaires avaient précédemment révélé que les prix à la consommation du bloc euro avaient connu une augmentation sans surprise de 1,6% corrigés de mois-ci, tout comme lors du sixièmeme mois de l'année.
On pouvait aussi noter que le taux de chômage s'y était maintenu à 12,1% après ajustement saisonnier en juin, alors qu'un frémissement à 12,2% était craint.
Le billet vert a aussi pris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0,60% pour reprendre pied à 1,5145.
Il a d'autre part exercé sa pression sur le yen et le franc suisse, l'USD/JPY gagnant 0,24% pour se retrouver à 98,26 et l'USD/CHF empochant 0,25% pour s'élever à à,9231.
L'agence de recherches économiques KOF avait précédemment révélé que son baromètre de l'économie helvète était passé de 1,15 à 1,23 pour ce mois-ci, soit un petit peu mieux que les 1,22 pressentis.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD dérapant de 0,95% pour descendre à 0,8976, le NZD/USD reculant de 0,42% pour toucher le fond à 0,7956 et l'USD/CAD progressant de 0,06% pour aller vers 1,0312.
Il était aussi à noter que la mesure de la confiance des entreprises de l'Australie établie par le groupe bancaire ANZ avait connu une embellie depuis 50,1 vers 52,8 en juillet, atteignant aainsi son meilleur niveau en 14 ans.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,32% pour se situer à 82,19.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part conclure la journée avec un rapport sur l'activité des usines de la région de Chicago.