Investing.com - Le dollar U.S. a redressé la barre face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, se rapprochant de son meilleur niveau depuis la première partie du mois dernier contre son homologue européen, sur fond de manque de clarté des résultats des élections législatives en Italie, ravivant le spectre d'une perturbation de la marche des réformes et un retour de la crise régionale.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a même fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 1.3062.
La monnaie unique semblait être condamnée à la défensive, l'ombre causée par les résultats des élections législatives italiennes laissant redouter une dégradation de la situation financière régionale.
La coalition de centre gauche ayant à sa tête le parti démocrate dirigé de Pier Luigi Bersani a remporté la majorité des suffrages à l'assemblée nationale, et semblait avoir la légitimité pour former un gouvernement.
Mais les projections indiquaient cependant qu'aucune formation ne semblait capable de remporter la plupart des voix du sénat, ce qui pourrait conduire à une impasse.
Les taux appliqués aux obligations décennales émises par Rome ont du coup bondi depuis les 4.37% d'hier jusqu'à 4.87%, imités par ceux de Madrid, passant de 5.1 à 5.5% dans le même temps.
Il en était presque de même avec le yen, l'USD/JPY frémissant de 0.01% pour se hisser à 92.83, compensant ainsi une partie de la dégringolade d'hier, sur fond de persistance des présages d'accommodements musclés de la part de la Banque du Japon.
La livre sterling a aussi cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD se faisant arracher 0.09% pour glisser à 1.5149, aux abords d'un gouffre de 31 mois.
La devise de la Grande-Bretagne restait sur la sellette dans le sillage du rabaissement d'un cran de la notation triple A anciennement attribuée au pays où elle a cours par l'agence de notation Moody's, faisant envisager une reprise des apports de capitaux de la Banque d'Angleterre.
Il a par contre subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF perdant 0.06% pour tomber à 0.9317.
L'étalon des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne, et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.05% pour aller vers 1.0264, l'AUD/USD laissant échapper 0.19% pour descendre à 1.024 et le NZD/USD dérapant de 0.61% pour dégringoler à 0.8276.
La seconde a perdu du souffle après qu'un haut représentant de la Réserve Bancaire d'Australie ait affirmé que ses dirigeants étaient avaient la possibilité de réduire à nouveau les taux d'intérêt afin de compenser le renforcement de sa monnaie et contrer le ralentissement de l'économie
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.06% pour se situer à 81.89.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, devrait pour sa part témoigner incessamment de l'état de la politique monétaire devant le comité bancaire sénatorial, et sera surveillé de près après que le compte-rendu de la dernière réunion de son conseil directeur ait montré que ses membres avaient envisagé de mettre un frein anticipé à ses mesures d'assouplissement.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur la confiance de leurs consommateurs, ainsi qu'avec le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a même fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 1.3062.
La monnaie unique semblait être condamnée à la défensive, l'ombre causée par les résultats des élections législatives italiennes laissant redouter une dégradation de la situation financière régionale.
La coalition de centre gauche ayant à sa tête le parti démocrate dirigé de Pier Luigi Bersani a remporté la majorité des suffrages à l'assemblée nationale, et semblait avoir la légitimité pour former un gouvernement.
Mais les projections indiquaient cependant qu'aucune formation ne semblait capable de remporter la plupart des voix du sénat, ce qui pourrait conduire à une impasse.
Les taux appliqués aux obligations décennales émises par Rome ont du coup bondi depuis les 4.37% d'hier jusqu'à 4.87%, imités par ceux de Madrid, passant de 5.1 à 5.5% dans le même temps.
Il en était presque de même avec le yen, l'USD/JPY frémissant de 0.01% pour se hisser à 92.83, compensant ainsi une partie de la dégringolade d'hier, sur fond de persistance des présages d'accommodements musclés de la part de la Banque du Japon.
La livre sterling a aussi cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD se faisant arracher 0.09% pour glisser à 1.5149, aux abords d'un gouffre de 31 mois.
La devise de la Grande-Bretagne restait sur la sellette dans le sillage du rabaissement d'un cran de la notation triple A anciennement attribuée au pays où elle a cours par l'agence de notation Moody's, faisant envisager une reprise des apports de capitaux de la Banque d'Angleterre.
Il a par contre subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF perdant 0.06% pour tomber à 0.9317.
L'étalon des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne, et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.05% pour aller vers 1.0264, l'AUD/USD laissant échapper 0.19% pour descendre à 1.024 et le NZD/USD dérapant de 0.61% pour dégringoler à 0.8276.
La seconde a perdu du souffle après qu'un haut représentant de la Réserve Bancaire d'Australie ait affirmé que ses dirigeants étaient avaient la possibilité de réduire à nouveau les taux d'intérêt afin de compenser le renforcement de sa monnaie et contrer le ralentissement de l'économie
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.06% pour se situer à 81.89.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, devrait pour sa part témoigner incessamment de l'état de la politique monétaire devant le comité bancaire sénatorial, et sera surveillé de près après que le compte-rendu de la dernière réunion de son conseil directeur ait montré que ses membres avaient envisagé de mettre un frein anticipé à ses mesures d'assouplissement.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec un rapport sur la confiance de leurs consommateurs, ainsi qu'avec le volume officiel de leurs ventes de logements neufs.