Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, les performances surprenantes de l'emploi américain dévoilées lors de la session précédente alimentant les rumeurs de réduction prochaine des apports de capitaux de l'émettrice de son adversaire.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,19% pour se hisser à 101,34, frôlant un pic de six semaines.
Le billet vert gardait des couleurs après que les bons résultats de l'emploi américain dévoilés lors de la session précédente aient alimenté les rumeurs de réduction prochaine des apports de capitaux de son émettrice.
Il avait alors engrangé 1,13% après que les autorités des Etats-Unis aient décompté 195.000 emplois supplémentaires en juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Les 175.000 précédents avaient d'autre part été revus à la hausse jusqu'à 195.000, et le taux de chômage se maintenait quand à lui à 7,6% le mois passé.
Les autorités japonaises avaient aussi fait savoir à l'aube que l'excédent du compte courant national s'était élevé à 540,7 milliards de JPY en mai, constituant la seconde fois que des augmentations successives avaient lieu depuis octobre 2010, confortant l'idée d'une relance de l'économie.
Il en était de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,01% pour tomber à 1,2831, aux abords d'un creux de six semaines.
La monnaie unique demeurait sur la défensive après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré lors de la conférence de presse ayant suivi la réunion de cette dernière qu'elle ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Elle n'a cependant guère varié après que l'Allemagne ait déploré en début de journée un excédent décevant pour sa balance commerciale, avec 14,1 milliards d'euros en mai, les exportations subissant une érosion de 4,8% d'une année sur l'autre, et les importations de 2,6%.
Les experts pensaient ainsi le voir s'élever à 17,5 milliards d'euros.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,06% pour chuter à 1,4884.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette jeudi, la paire s'écroulant de plus de 1% après que la Banque d'Angleterre ait fait savoir que ses taux d'intérêt avaient toutes les chances de demeurer maintenus aux abords de leurs planchers historiques, étant donné la faiblesse de la reprise nationale.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,12% pour culminer à 0,9647.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD frémissant de 0,09% pour se retrouver à 0,9066, le NZD/USD arrachant 0,35% pour culminer à 0,7733 et l'USD/CAD laissant échapper 0,05% pour descendre à 1,0566.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,01% pour se situer à 84,78.
Le groupe des ministres des finances du bloc euro procèdera pour sa part aujourd'hui à des pourparlers à Bruxelles.
Le chef de l'autorités monétaire de l'Europe comparaitra quand à lui devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen dans la capitale belge.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 0,19% pour se hisser à 101,34, frôlant un pic de six semaines.
Le billet vert gardait des couleurs après que les bons résultats de l'emploi américain dévoilés lors de la session précédente aient alimenté les rumeurs de réduction prochaine des apports de capitaux de son émettrice.
Il avait alors engrangé 1,13% après que les autorités des Etats-Unis aient décompté 195.000 emplois supplémentaires en juin, au lieu des 165.000 envisagés.
Les 175.000 précédents avaient d'autre part été revus à la hausse jusqu'à 195.000, et le taux de chômage se maintenait quand à lui à 7,6% le mois passé.
Les autorités japonaises avaient aussi fait savoir à l'aube que l'excédent du compte courant national s'était élevé à 540,7 milliards de JPY en mai, constituant la seconde fois que des augmentations successives avaient lieu depuis octobre 2010, confortant l'idée d'une relance de l'économie.
Il en était de même à une moindre échelle avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,01% pour tomber à 1,2831, aux abords d'un creux de six semaines.
La monnaie unique demeurait sur la défensive après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré lors de la conférence de presse ayant suivi la réunion de cette dernière qu'elle ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Elle n'a cependant guère varié après que l'Allemagne ait déploré en début de journée un excédent décevant pour sa balance commerciale, avec 14,1 milliards d'euros en mai, les exportations subissant une érosion de 4,8% d'une année sur l'autre, et les importations de 2,6%.
Les experts pensaient ainsi le voir s'élever à 17,5 milliards d'euros.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,06% pour chuter à 1,4884.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette jeudi, la paire s'écroulant de plus de 1% après que la Banque d'Angleterre ait fait savoir que ses taux d'intérêt avaient toutes les chances de demeurer maintenus aux abords de leurs planchers historiques, étant donné la faiblesse de la reprise nationale.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,12% pour culminer à 0,9647.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD frémissant de 0,09% pour se retrouver à 0,9066, le NZD/USD arrachant 0,35% pour culminer à 0,7733 et l'USD/CAD laissant échapper 0,05% pour descendre à 1,0566.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,01% pour se situer à 84,78.
Le groupe des ministres des finances du bloc euro procèdera pour sa part aujourd'hui à des pourparlers à Bruxelles.
Le chef de l'autorités monétaire de l'Europe comparaitra quand à lui devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen dans la capitale belge.