Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, la déception sur le front de la zone euro ayant ravivé les craintes au sujet des perspectives de croissance régionales, redorant son blason en tant que valeur refuge.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,46% pour tomber à 1,2987.
La monnaie unique s'était retrouvée sur la sellette après que les autorités aient avoué que le chômage de la région où il a cours avait établi un nouveau record en passant sans surprise des 12,1% de mars vers 12,2%.
Une étude préliminaire montrait aussi que le bloc avait connu ce mois-ci une inflation des prix à la consommation de 1,4% d'une année sur l'autre, comme anticipé après les 1,2% précédents.
Des informations émanant de l'agence Destatis avaient auparavant souligné que les ventes au détail de l'Allemagne avaient diminué de 0,4% en avril, alors qu'un sursaut de 0,2% était espéré après le faux pas de 0,1% ayant eu lieu auparavant.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,12% pour chuter à 1,5215.
La Banque d'Angleterre avait fait savoir dans la matinée que le total des prêts nets accordés aux particuliers avait augmenté de 1,4 milliards de GBP le mois dernier, soit nettement plus que les 900 000 GBP avancées dans le sillage des 1,1 milliards de GBP ajoutés en mars.
Il a toutefois aussi subi la pression du yen, l'USD/JPY dérapant de 0,23% pour reprendre pied à 100,46, mais a imposé la sienne au franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,11% pour culminer à 0,9542.
Une étude préliminaire avait montré à l'aube 1,7% de production industrielle supplémentaire pour le quatrième mois de l'année au Japon, surpassant les 0,6% prédits après les 0,9% du troisième.
Une autre faisait aussi savoir que l'indice des prix à la consommation de la région de Tokyo avait frémi de 0,1% en mai, au lieu de se trouver érodé de 0,2% comme il avait été annoncé après les 0,3% subis au cours de la période précédente.
Il était cependant à noter que les dépenses des ménages nippons avaient moins gonflé que prévu, avec seulement 1,5% après les 5,2% de mars, alors que 3,1% avaient été présagés.
Le baromètre économique helvète KOF frémissait pour sa part depuis les 1,04 d'avril vers 1,10, une bonne nouvelle au regard des 1,08 pressentis.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,82% pour se retrouver à 0,9582, le NZD/USD se laissant arracher 1,11% pour toucher le fond à 0,7984 et l'USD/CAD prenant 0,52% pour monter à 1,0351.
Il avait été signalé ce matin que l'indice ANZ de la confiance en Nouvelle-Zélande avait rebondi depuis les 32,3 précédents vers 41,8.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait 0,33% pour se situer à 83,34.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre révisé du moral des consommateurs mesuré par l'université du Michigan, ainsi que le volume des revenus personnels et celui des dépenses individuelles, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,46% pour tomber à 1,2987.
La monnaie unique s'était retrouvée sur la sellette après que les autorités aient avoué que le chômage de la région où il a cours avait établi un nouveau record en passant sans surprise des 12,1% de mars vers 12,2%.
Une étude préliminaire montrait aussi que le bloc avait connu ce mois-ci une inflation des prix à la consommation de 1,4% d'une année sur l'autre, comme anticipé après les 1,2% précédents.
Des informations émanant de l'agence Destatis avaient auparavant souligné que les ventes au détail de l'Allemagne avaient diminué de 0,4% en avril, alors qu'un sursaut de 0,2% était espéré après le faux pas de 0,1% ayant eu lieu auparavant.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,12% pour chuter à 1,5215.
La Banque d'Angleterre avait fait savoir dans la matinée que le total des prêts nets accordés aux particuliers avait augmenté de 1,4 milliards de GBP le mois dernier, soit nettement plus que les 900 000 GBP avancées dans le sillage des 1,1 milliards de GBP ajoutés en mars.
Il a toutefois aussi subi la pression du yen, l'USD/JPY dérapant de 0,23% pour reprendre pied à 100,46, mais a imposé la sienne au franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0,11% pour culminer à 0,9542.
Une étude préliminaire avait montré à l'aube 1,7% de production industrielle supplémentaire pour le quatrième mois de l'année au Japon, surpassant les 0,6% prédits après les 0,9% du troisième.
Une autre faisait aussi savoir que l'indice des prix à la consommation de la région de Tokyo avait frémi de 0,1% en mai, au lieu de se trouver érodé de 0,2% comme il avait été annoncé après les 0,3% subis au cours de la période précédente.
Il était cependant à noter que les dépenses des ménages nippons avaient moins gonflé que prévu, avec seulement 1,5% après les 5,2% de mars, alors que 3,1% avaient été présagés.
Le baromètre économique helvète KOF frémissait pour sa part depuis les 1,04 d'avril vers 1,10, une bonne nouvelle au regard des 1,08 pressentis.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,82% pour se retrouver à 0,9582, le NZD/USD se laissant arracher 1,11% pour toucher le fond à 0,7984 et l'USD/CAD prenant 0,52% pour monter à 1,0351.
Il avait été signalé ce matin que l'indice ANZ de la confiance en Nouvelle-Zélande avait rebondi depuis les 32,3 précédents vers 41,8.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait 0,33% pour se situer à 83,34.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre révisé du moral des consommateurs mesuré par l'université du Michigan, ainsi que le volume des revenus personnels et celui des dépenses individuelles, sans oublier une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago.