Investing.com - Le dollar U.S. restait en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, aux abords d'un sommet de trois mois contre son homologue européen, lequel se trouvait sapé par la controverse sur le plan de sauvetage de Chypre.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.24% pour tomber à 1.2927, à portée de tir d'un creux trimestriel.
La monnaie unique a en effet perdu des plumes après qu'il ait été annoncé que tous les clients des banques du pays devraient payer une taxe unique sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Cette décision constituait la première fois depuis le début de la crise de la dette en Europe que les épargnants se trouvaient devoir contribuer directement aux aides financières.
Le ministre de la défense du pays a cependant révélé à l'aube que le vote du parlement sur la question prévu cet après-midi pourrait être remis à plus tard afin de laisser au gouvernement le temps de préparer une nouvelle proposition au sujet de la taxation des comptes en banque afin d'alléger le fardeau des petits épargnants.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY frémissant de 0.16% pour s'élever à 95.37.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
Son homologue japonaise était à la veille de l'intronisation de son nouveau gouverneur, avec l'espoir d'assouplissements musclés lors de la prochaine réunion de son conseil directeur, en avril.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.17% pour chuter à 1.5082, mais a fait mieux que résister au franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.12% pour culminer à 0.9471.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.15% pour monter à 1.023, l'AUD/USD cédant 0.36% pour se retrouver à 1.0362 et le NZD/USD se laissant arracher 0.31% pour toucher le fond à 0.8238.
Le compte-rendu du dernier conseil d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie avait souligné en début de session que celle-ci pouvait encore réduire les coûts de ses prêts si besoin était.
Il précisait: "Les informations actuelles poussent à maintenir les taux au niveau actuel, bien que des rabaissements futurs puissent s'avérer nécessaires."
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.13% pour se situer à 82.98.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait bientôt faire connaître son indice crucial du moral allemand, après quoi les autorités américaines annonceront enfin le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.24% pour tomber à 1.2927, à portée de tir d'un creux trimestriel.
La monnaie unique a en effet perdu des plumes après qu'il ait été annoncé que tous les clients des banques du pays devraient payer une taxe unique sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Cette décision constituait la première fois depuis le début de la crise de la dette en Europe que les épargnants se trouvaient devoir contribuer directement aux aides financières.
Le ministre de la défense du pays a cependant révélé à l'aube que le vote du parlement sur la question prévu cet après-midi pourrait être remis à plus tard afin de laisser au gouvernement le temps de préparer une nouvelle proposition au sujet de la taxation des comptes en banque afin d'alléger le fardeau des petits épargnants.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY frémissant de 0.16% pour s'élever à 95.37.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera demain était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
Son homologue japonaise était à la veille de l'intronisation de son nouveau gouverneur, avec l'espoir d'assouplissements musclés lors de la prochaine réunion de son conseil directeur, en avril.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.17% pour chuter à 1.5082, mais a fait mieux que résister au franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.12% pour culminer à 0.9471.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.15% pour monter à 1.023, l'AUD/USD cédant 0.36% pour se retrouver à 1.0362 et le NZD/USD se laissant arracher 0.31% pour toucher le fond à 0.8238.
Le compte-rendu du dernier conseil d'orientation de la Réserve Bancaire d'Australie avait souligné en début de session que celle-ci pouvait encore réduire les coûts de ses prêts si besoin était.
Il précisait: "Les informations actuelles poussent à maintenir les taux au niveau actuel, bien que des rabaissements futurs puissent s'avérer nécessaires."
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.13% pour se situer à 82.98.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait bientôt faire connaître son indice crucial du moral allemand, après quoi les autorités américaines annonceront enfin le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.