Investing.com - Le dollar U.S. était de plus en plus en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, après que la banque centrale des Etats-Unis se soit montrée moins pessimiste que prévu au sujet de la conjoncture, tandis que son homologue d'Europe subissait des résultats décevants là où elle a cours.
En première partie de séance européenne, l'euro ainsi davantage fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,55% pour tomber à 1,3660.
Le premier a en effet plongé après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus faible depuis novembre 2009, constituant un net ralentissement par rapport aux 1,1% ayant précédé, alors qu'une stabilisation semblait probable.
Elle s'est du coup encore plus éloignée des 2%, voire un peu moins, visés par la Banque Centrale Européenne.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps, alors qu'un retraction à 12% était espérée.
Son adversaire avait pour sa part retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis ait maintenu hier à l'issue de son conseil directeur le volume de ses rachats d'actifs mensuels à 85 milliards d'USD, sans toutefois mettre fin aux interrogations concernant leur possible diminution pour décembre, ou une poursuite jusqu'en 2014.
Elle a ajouté que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient, tout en se gardant bien de mettre fin aux interrogations concernant un possible tour de vis pour décembre, ou l'absence d'initiatives jusqu'en 2014.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,31% pour retrouver pied à 98,20.
La Banque du Japon avait elle aussi opté pour le statu quo à l'aube, rappelant qu'elle comptait atteindre les 2% d'inflation annuelle qu'elle vise d'ici avril 2015.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling et exercé sa pression sur le franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,03% pour chuter à 1,6035 et l'USD/CHF grignotant 0,38% pour culminer à 0,9027, établissant un sommet journalier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD frémissant de 0,29% pour se retrouver à 0,9511, le NZD/USD se contentant d'arracher 0,26% pour culminer à 0,8292.
Graeme Wheeler, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait précédemment déclaré que la force de la seconde lui laissait "davantage de marge sur le moment et le volume d'éventuelles remontées de son taux directeur".
Celui-ci avait été maintenu à 2,5% suite à sa prise de décision mensuelle.
Son homologue canadienne prenait aussi l'avantage, l'USD/CAD sombrant de 0,25% pour toucher le fond à 1,0452.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,31% pour se situer à 80,02.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'euro ainsi davantage fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,55% pour tomber à 1,3660.
Le premier a en effet plongé après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait mesuré 0,7% d'augmentation des prix au détail pour octobre, la plus faible depuis novembre 2009, constituant un net ralentissement par rapport aux 1,1% ayant précédé, alors qu'une stabilisation semblait probable.
Elle s'est du coup encore plus éloignée des 2%, voire un peu moins, visés par la Banque Centrale Européenne.
Il était aussi à noter que le chômage de la région s'était maintenu à 12,2% en septembre, son plus haut niveau de tous les temps, alors qu'un retraction à 12% était espérée.
Son adversaire avait pour sa part retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis ait maintenu hier à l'issue de son conseil directeur le volume de ses rachats d'actifs mensuels à 85 milliards d'USD, sans toutefois mettre fin aux interrogations concernant leur possible diminution pour décembre, ou une poursuite jusqu'en 2014.
Elle a ajouté que l'économie poursuivait son expansion "à un rythme modéré", et que les risques négatifs diminuaient, tout en se gardant bien de mettre fin aux interrogations concernant un possible tour de vis pour décembre, ou l'absence d'initiatives jusqu'en 2014.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,31% pour retrouver pied à 98,20.
La Banque du Japon avait elle aussi opté pour le statu quo à l'aube, rappelant qu'elle comptait atteindre les 2% d'inflation annuelle qu'elle vise d'ici avril 2015.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling et exercé sa pression sur le franc suisse, le GBP/USD glissant de 0,03% pour chuter à 1,6035 et l'USD/CHF grignotant 0,38% pour culminer à 0,9027, établissant un sommet journalier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD frémissant de 0,29% pour se retrouver à 0,9511, le NZD/USD se contentant d'arracher 0,26% pour culminer à 0,8292.
Graeme Wheeler, gouverneur de la Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande, avait précédemment déclaré que la force de la seconde lui laissait "davantage de marge sur le moment et le volume d'éventuelles remontées de son taux directeur".
Celui-ci avait été maintenu à 2,5% suite à sa prise de décision mensuelle.
Son homologue canadienne prenait aussi l'avantage, l'USD/CAD sombrant de 0,25% pour toucher le fond à 1,0452.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,31% pour se situer à 80,02.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.