Investing.com - Le dollar U.S. a relevé la tête face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, après que des performances des Etats-Unis dépassant les attentes aient conforté l'optimisme au sujet de leur relance économique.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY frémissant de 0,06% pour se retrouver à 97,66, après avoir établi u plancher journalier à 96,97.
Le département d'état au commerce américain a en effet déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 0,7% le mois dernier, alors qu'un faux pas de 0,1% était redouté.
Celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, gonflant même de 3,6% en mai, au lieu des 3% pressentis.
La paire avait plongé ce matin après que de hauts responsables de l'autorité monétaire américaine aient rappelé que la fin imminente de ses perfusions de capitaux n'était qu'une possibilité et non une certitude comme certains semblaient affirmer.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,19% pour tomber à 1,3094, sombrant dans une ornière journalière.
La région ayant adopté la devise européenne était inquiète au sujet des orientations futures de la Fed, voyant aussi l'Espagne et l'Italie subir une poussée des couts de leurs emprunts lors des enchères de la mi-journée.
Madrid a ainsi émis pour 930 millions d'euros de bons du trésor à trois mois à un taux moyen de 0,86%, soit plus du double des 0,33% précédents, et pour 2,14 milliards d'euros à échéance à neuf mois, passant de 0,78 à 1,44%.
Rome a fait de même avec 3,5 milliards d'euros en obligations courant sur deux ans, à 2,4% de moyenne au lieu des 1,1% constatés précédemment.
La livre sterling a fait mieux que résister au billet vert, le GBP/USD arrachant 0,01% pour de hisser à 1,5436, alors que le franc suisse finissant par y céder, l'USD/CHF s'élevant de 0,36% pour s'établir à 0,9366.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australiennes et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,20% pour monter à 0,9265, le NZD/USD laissant échapper 0,44% pour toucher le fond à 0,7718 et l'USD/CAD régressant de 0,01% pour aller vers 1,0497.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,11% pour se situer à 82,73.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY frémissant de 0,06% pour se retrouver à 97,66, après avoir établi u plancher journalier à 96,97.
Le département d'état au commerce américain a en effet déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 0,7% le mois dernier, alors qu'un faux pas de 0,1% était redouté.
Celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, gonflant même de 3,6% en mai, au lieu des 3% pressentis.
La paire avait plongé ce matin après que de hauts responsables de l'autorité monétaire américaine aient rappelé que la fin imminente de ses perfusions de capitaux n'était qu'une possibilité et non une certitude comme certains semblaient affirmer.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,19% pour tomber à 1,3094, sombrant dans une ornière journalière.
La région ayant adopté la devise européenne était inquiète au sujet des orientations futures de la Fed, voyant aussi l'Espagne et l'Italie subir une poussée des couts de leurs emprunts lors des enchères de la mi-journée.
Madrid a ainsi émis pour 930 millions d'euros de bons du trésor à trois mois à un taux moyen de 0,86%, soit plus du double des 0,33% précédents, et pour 2,14 milliards d'euros à échéance à neuf mois, passant de 0,78 à 1,44%.
Rome a fait de même avec 3,5 milliards d'euros en obligations courant sur deux ans, à 2,4% de moyenne au lieu des 1,1% constatés précédemment.
La livre sterling a fait mieux que résister au billet vert, le GBP/USD arrachant 0,01% pour de hisser à 1,5436, alors que le franc suisse finissant par y céder, l'USD/CHF s'élevant de 0,36% pour s'établir à 0,9366.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australiennes et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,20% pour monter à 0,9265, le NZD/USD laissant échapper 0,44% pour toucher le fond à 0,7718 et l'USD/CAD régressant de 0,01% pour aller vers 1,0497.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,11% pour se situer à 82,73.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.